Ho bien sûr, depuis quelques, mais récemment, une chaîne extensive de la principale ressort quelques-uns de ces films qui ont fait l’enfance des quelques-uns désormais vieux regardant nostalgiquement ces morceaux de bravoure.
Mais, sur une des principales chaîne public, nada, rien, que des jeux ou de la télé-réalité faisant voir les êtres humains comme naguère on allait voir les animaux au zoo.
Lève la patte pour faire voir comme tu es beau.
Ceci dit, c’est parfaitement injuste de critiquer ainsi l’aujourd’hui alors qu’hier, c’est en cage que l’on faisait voir les spécimens, à barbe, 3 bras que sais-je ce n’était pas de mon temps.
Et oui, en une soirée maussade de novembre, un jeudi, une lueur à la hussarde d’un bon vieux western.
Avec comme fil rouge, deux anciens antagonistes qui se sont ficus la patate.
L’un prisonnier des blancs a reçu l’accord d’aller mourir sur ces terres à ancêtres.
L’autre, commandant en chef du retour, n’est pas d’accord, vindicatif qu’il est.
Mais, le chemin n’est pas de tout repos.
Et c’est 2h18, bien loin des actuelles 1h30mn à la clé, d’aventures de combats contre les comanches, autres indiens mais en plus libres.
Mais le bout de l’histoire est une bonne morale qu’une dualité peut se réconcilier selon ce que l’on a vécu ensemble.
Je savoure malgré les cris et désespérances de mon entourage de me voir repartir en enfance peut-être même adolescence devenu, je l’assume, adulte.
Mais, il est vrai que dans la vraie vie actuelle, s’il n’y a plus de revolver, sauf la kalachnikov pour les cités infréquentables, mais dernières enclaves indigènes de la République, il y a en plus du regard qui tue, le langage châtié entre de beau monde.
Réécoutez les intentions d’un ex vis à vis de l’actuel.
Et vous aurez compris un peu l’enjeu de la prochaine présidentielle.