Or, pourquoi ne pas accepter une faute collective de n’avoir pas prévu de lits de réanimation suffisant pour les prises en charge.
En fait, devant l’urgence qui fait loi du principe de réalité l’on demande aux enfants de se vacciner car des adultes refusent de le faire.
Pourtant à ces mêmes adultes ont veut les forcer à se faire piquer car il y a risque réel d’engorgement des lits d’hôpitaux totalement insuffisants car la politique médicinale des différentes politiques gouvernementales non eu de cesse de réduire les capacités.
Ce que tout le monde peut voir dans son quotidien avec les vrais déserts médicaux.
Qui ne s’est pas confronté à la recherche d’un médecin refusant de prendre nouvelle clientèle tant ils sont déjà débordés.
Mais d’un autre côté, certains grands médecins suivent le Graal de vouloir tenter d’éviter nombre de malades en hôpital.
Le pire c’est que sans doute aucun tout le monde a raison.
Mais chacun étant perdu dans leur persuasion dogmatique, il n’y a aucun recherche de synthèse possible.
Pourtant, elle serait nécessaire ne serait-ce que pour constater, vérifier, prendre en compte l’état des choses.
Pour éviter les malades il faut agir en amont.
Mais, tout risque ne peut être éradiquer.
La question reste donc combien de lits faut-il pour une bonne prise en charge sans engorgement des capacités.
Une question demeure.
Il y a encore près de 500 000 personnes âgées non vaccinées.
La raison est qu’elles sont tellement éloignées de l’extérieur qu’elles ne sont pas au courant des risques encourues.
Mais quels risques si elles ne voient personne sauf peut-être le voisin qui leur apport les vivres.
Il suffit de porter le masque, geste barrière suffisant et sans doute ne restent-elles pas qi longtemps que cela en contact éloigné.
Alors où est le problème .