D’un sondage journalier, inventé pour tenir en haleine le public comme un feuilleton d’une mauvaise série.
Mais, c’est tout monnaie dans le portefeuille de celui qui les crée.
Lorsque les marchés n’existent pas, il faut bien les inventer.
Toujours, est-il que le constat est le refus de la droite extrême de dire que le trublion d’extrême droite n’est pas un ennemi, tout juste un concurrent et encore faut-il bien y regarder.
Si demain, l’annonce du regroupement des extrêmes droites, il ne faudra pas s’étonner.
Au moins, le jeu sur table sera net, casino tenez-vous prêt.
Ils en ont de la chance les précaires.
Déjà, l’illuminé leur avait tracé le chemin en leur disant d’aller sur le trottoir d’en face.
Pourtant, ils avaient eu un doute en constatant les milliards renoncés en faveur des vrais, vraiment plus riches.
Ils avaient eu peur en voyant leurs aides logement diminuer.
Mais ils avaient compris lorsque l’on leur avait dit qu’il s’agissait d’un pognon de dingue.
Ils avaient repris espoir de voir les entreprises de France, les belles, jouant à l’international, profitant du quoi qu’il en coûte pour se faire des bénéfices royaux.
Ils étaient rassurés de savoir que le ruissellement serait un juste retour.
D’ailleurs, cela commençait bien, le chômage baissait même si ce n’était pas pour eux plongés dans le Chômage à Durée Indéterminé.
Mais, patatras, devant l’augmentation du coût de la vie déjà chère, le gouvernement se croit obligé de les aider par des chèques inflation de dingue.
Les candidats aux prochaines élections d’un siège éjectable leur promettent toutes et tous des larmes et sueurs mais avec la joie d’un Smic pompant les caisses d’aides sociales.
La promesse d’un minimum vieillesse inférieur au Smic, et à ce niveau il s’agit d’un gouffre, qui sera obtenu à un certain âge dont la ligne de départ ne cesse de reculer.
Ces convois de la liberté le seront-ils vraiment ?
