C’est la mode, profitez-en car depuis que je suis grand je ne pouvais me défouler de mes interdits de petit.
Maintenant, notre maître à tous illuminé, nous permet de nous exprimer comme nous le voulons, comme n’importe quel rapporteur de comptoir de café.
Maintenant, quand on passe son temps à s’exprimer sur un propos, lancé pas pour rien, on ne parle pas du reste.
Celui-ci pourrait être la sécurité de la santé, le pouvoir d’achat, la sécurité face à la délinquance fiscale, la vraie expression des citoyens dans une vraie démocratie, la vraie représentativité des élus du peuple, le scandale toujours exprimé des fameuses 500 signatures qui amène de scandaleux marchandages sous la table de (non) signature.
Et si vous en voulez encore, envoyez vos demandes pour que l’on puisse en discuter.
Ceci dit ce terme avait déjà été emprunté par une ancienne rappeuse à propos de certains de l’extrême droite.
Dommage qu’elle soit devenue la sans voix de sa religion.
L’illuminé prend un drôle de chemin quand il met en avant le soi-disant discours tenu par des personnels soignants, lors de sa fameuse phrase, comportant son non moins fameux mot.
Il met en avant le fait normal de penser que les soignants pourraient prendre comme possibilité d’exclure les soins ceux qui emmerdent les autres.
C’est vrai qu’à partir de cette nouvelle théorie, l’hôpital pourra encore réduire ses lits si ne sont plus acceptés les cancéreux car trop fumeurs, les obèses aimant trop la bouffe industrielle grasse, les poivrots de trop boire pour avoir des crises cardiaques, les vieux d’être malades car ne faisant pas d’exercice avec leur déambulateur et la liste n’est pas exhaustive.
Mais, drastiquement, comment un président en exercice peut-il vouloir ostraciser une partie de la population qui a le malheur de faire un choix légal ? Il fallait légiférer l’illuminé parti en campagne.
