En matière d’assurances, les compagnies ou mutuelles ont quelques soucis à sortir des rangs balisés par l’expérience.
Il est vrai qu’auparavant rien ne valait mieux que la connaissance du passé pour tenter évaluer le futur.
Et c’est ainsi qu’en assurance automobile, un questionnaire long comme le bras pour savoir quels sont vos antécédents.
Âge, sexe, situation matrimoniale, adresse, antécédents d’assurances, niveau de bonus et autres joyeusetés étaient, sont toujours demandés.
Cela me fait penser au coup de bambou reçu sur la tête lorsque le service surveillance du portefeuille vous contacter pour vous pénaliser dans votre futur de vos actions passées.
Ça se passe comme cela en assurances.
Circulez il n’y a plus rien à voir.
Il faut dire aussi que les crânes d’œuf ayant mis en plce ce système savent bien eux que leur(s) diplôme(s) obtenu(s) à la sueur de leur front d’être restés le cul sur un banc de classe, les classaient pour la vie dans les rangs des élites.
Rien, et surtout pas leur vie présente, ne les fera descendre de leur piédestal sauf s’ils insistent lourdement auprès de leurs pairs.
Enfin bref, votre passé entérine votre futur et tant pis pour votre présent.
Mais, celui qui a bouleversé le véhicule en l’électrifiant au maximum, en a décidé autrement.
Comme tout est numérique dans ses véhicules, qui ont l’honneur des ventes en grand nombre dans notre pays nucléaire, les données de conduite de chaque conducteur peuvent être conservées.
D’ailleurs, dans certains véhicules sortis de France, certains mode éco ont la prétention de noter votre conduite.
Mais, le milliardaire véhiculé lui veut aller loin, bien plus loin.
Puisqu’il numérise le comportement lors de leur conduite, il peut en temps réel connaître la manière d’être de la personne au volant.
Ainsi lui est venu l’idée de tarifer son assurance non pas sur ce qu’il faisait hier, mais par rapport à ce qu’il fait aujourd’hui…