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Si vous achetez aujourd’hui un véhicule neuf, vous ne pourrez pas y échapper.

Vous aurez droit à nombre d’aides à la conduite ( autrement dites automatic drive assist system) dont certaines pourraient bien vous énerver très rapidement.

En effet, en roulant vous avez la forte impression d’avoir embarqué avec vous une brigade de gendarmerie.

Si c’est bon pour le covoiturage (virtuel), cela l’est moins pour vos nerfs déjà mis à mal par les défauts des routes consécutivement à un manque d’entretien devenu monnaie courante.

Certes, certains constructeurs ont cru trouver la parade.

Il vous laisse la possibilité de bloquer l’ensemble via un bouton physique ou une fonction bienvenue, parfois perdue dans les fins fonds de l’arborescence du système embarqué.

Mais, le pire est que, à chaque démarrage, il vous faut reproduire l’opération ; pénible à la longue.

Et, puis, à quoi bon avoir ces possibilités décidées par la Cee et coûtant fort cher aux constructeurs ayant répercuté les coûts sur les  propriétaires de ces engins, si vous ne vous en servez pas, même d’une seule ? Il serait donc dit que vous n’avez pas le choix, c’est tout ou rien : l’adaptation intelligente de la vitesse, l’avertisseur de fatigue et d’inattention, l’aide au freinage d’urgence, l’assistance au maintien dans la voie, l’assistant de recul, les feux de freinage d’urgence et l’installation d’une boîte noire.

Pourtant, s’il est généralement constaté que la première et l’assistance au maintien dans la voie sont fortement intrusives, les autres pourraient très bien vous être d’une aide vraiment précieuse et peut-être sauver des vies.

Alors, laissez agir ou pas ? Le choix est cornélien, mais mieux vaut le faire avant de partir.

Ne maudissez pas votre constructeurs actuel.

Changez simplement pour celui qui a eu la bonne idée de vous laisser aisément choisir.

Vous ne trouverez pas la possibilité dans les menus.

Mais un bouton physique vous permet de faire valoir vos préférences à la carte.

Et, inutile de revenir dessus, à moins que vous gouts ne changent entre-temps.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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