Tant pis

Vous ne pourrez plus dire Noël au balcon, Paco Rabane.

L’homme s’en allé rejoindre sa station qui devait faire exploser notre planète ; à moins qu’il ne ressuscite…notre égérie verte dont j’aime tant vanter la pugnacité à descendre son opposé, va-t-elle enfin réagir à cette pub.

Il s’agit de deux jeunes que l’on devine filles se trouvant accolées à un bar que l’on devine classe.

Tout d’un coup l’une d’elle repère un jeune que l’on devine homme.

Elle veut lui faire le coup de charme d’un verre amené à domicile.

Mais la pauvre a du mal à (re)trouver sa monnaie.

Alors, elle est dépassée par sa ce que l’on avait cru être sa copine, voire amie.

Sexiste, cette pub ? Attendons de voir la réaction de notre princesse.

Méfiez-vous lorsqu’un premier de classe, sorti major de sa promo de grande école dont il a réussi haut la main le concours élitiste d’entrée, vous dit « Parlons d’homme à homme ».

Il sait lui qu’il est très fort à l’oral.

Amusant, la droite dans son intégralité, qui ne s’en sorte pas de l’impasse où elle s’est dirigée toute seule.

Alors elle (re)sort le vieux serpent de mer qui est un véritable loup pou l’humain comme un journaliste un marronnier, la peur de l’extrême droite qui (re)sort de son vieux panier le populisme pour arriver première aux prochaines élections présidentielles.

Les riches doivent investir en France.

C’est ce que vient de faire le premier d’entre eux.

Il a acquis un petit hôte particulier pour la modique somme de 55 millions d’euros.

Il jouxte sa résidence officiellement déclaré comme principale.

Il a obtenu de faire des travaux sur la façade extérieure mais aussi, surtout, des aménagements intérieurs.

Gageons qu’il sera organisé une connexion directe d’avec à côté.

Vive le ruissellement.

Enfin, la première ministre pour l’emporter sur la réforme, fait un pas en avant d’une justice sociale de permettre à ceux qui ont travaillé jeune de partir plutôt qu’elle ne l’avait prévu.

Ainsi, elle espère obtenir les votes du parti d’opposition de droite le plus petit de l’assemblée.

C’est ça la Démocratie macroniène

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