Sens de lecture

C’est d’une chronique d’un hebdo qui se voudrait encore d’une gauche ayant du mal à se définir.

Elle n’est pas, peut-être, à voir, à prendre au premier degré tant le chroniqueur paraît désemparé.

En effet, il dit que sa vie politique professionnelle a été modifiée, arrêtée par l’élan de la Nouvelle Nupés qui l’aurait obligée à mettre court à ses propres ambitions semées depuis bien longtemps déjà.

Peut-être depuis trop longtemps ; c’est pourquoi s’est-il fait doubler par des germes en pousse plus prompt que lui à se développer.

Mais là n’est pas trop le sujet.

Son 2ème degré serait toute sa hargne cachée sur cette nouvelle union dont il n’a pas l’intention ‘en faire ses choux gras.

Et, vue sous cet angle la bile coule à flots rendant très modeste le ruissellement du réélu mais pourrait faire cours au trop fameux roussellement déjà très vite oublié.

Quand au troisième degré, il laisserait supposer que le début de vaguelette serait susceptible de se transformer en tsunami tant son entourage immédiat semble pour.

Si celui-ci ne s’arrête pas à sa propre bourgeoisie, je ne serais pas contre.

Toujours, dans les mêmes feuilles, mais plus avancé dans l’ordre des pages, ce courrier de lecteur.

Il fait grise mine que soit dit que le réélu l’ait été grâce aux voies nombreuses des plus de 65 ans.

Il n’aime pas les catégories basées sur le millésime comme d’autres n’aiment qu’elles soient de genre, de race, de couleur de peau, d’handicap, voire de sexe tout court si j’ose dire.

Et il affirme être fier d’avoir fait front afin d’éviter l’extrême droite au pire.

L’on pourrait lire autrement les choses en affirmant qu’il a soutenu et préféré l’expansion sans fin du libéralisme capitalistique sans fin.

Et, s’il voulait éviter tout cela, il y avait le premier tour où il ne fallait pas s’égare dans les nombreux choix proposés.

Quitter la version mobile