Il y a dans le droit français ce que l’on appelle la « liberté individuelle », celle qui nous permet de décider si, par exemple, on veut ou pas se mettre en couple avec quelqu’un. Ce droit fondamental est inaliénable. (la liberté individuelle est le droit accordé à chaque individu d’agir comme il l’entend sans encourir des mesures de privation de liberté (emprisonnement, astreinte à résidence, interdiction de se déplacer, hospitalisation sans consentement, etc.), hormis dans les situations prévues par la loi.)
Et si malgré cela, la personne souhaite porter plainte contre son ami(e) pour le préjudice subi (dépression, choc émotionnel, etc…) elle devrait démontrer le préjudice, mais surtout la faute causée par la personne et son lien de causalité avec le préjudice. (Pour être indemnisé sur le fondement de l’article 1240 – anciennement 1382 – du Code civil, la victime doit prouver que c’est bien la faute qui a causé son préjudice.)
Ce qui évidemment n’est pas plaidable.
Rassurons-nous, en France nous avons toujours le droit de choisir qui partagera notre vie ».