Pour l’assurance rien ne change

Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas « frotté » aux assureurs.

Mais, cela me rappelle certains échanges il y a pourtant une quinzaine d’années.

Appels téléphoniques avec une attente moyenne supérieure à 4mn, redirection vers une autre personne sans avoir au préalable expliqué le pourquoi du comment de l’appel.

Mais, une fois la demande répétée plusieurs fois, les interlocuteurs disent savoir pourquoi le bébé leur a été passé sans même avoir changé l’eau du bain.

Un des clous pointés est l’impossibilité d’avoir un N° de téléphone d’une agence en place «  vous n’y pensez pas, ils auraient trop d’appels ».

Mais cela m’a permis de savoir que le partenariat entre deux mutuelles sur l’assurance professionnelle fonctionnait encore.

Sauf que ledit organisme m’a renvoyé trente ans en arrière en me réclamant la valeur en € des parties communes de la copropriété horizontale – fameuse couverture ad valorem d’un très ancien temps laissant le risque de déclaration au souscripteur – que je proposais de leur laisser assurer.

La question est-elle également posée pour garantir une copropriété verticale avec immeuble à x étages ?? Jusqu’à présent, je croyais savoir que la superficie développée – vous savez ce truc multipliant la surface au sol par le nombre de niveaux existants avec 1/2 pour la toiture et autant par sous-sol enregistré – suffisait amplement.

Quant aux extensions de garanties style renonciation à recours contre les copropriétaires, chute d’arbre(s) sans responsabilité de l’ASl, j’ai eu l’impression que le mur de Berlin s’était reconstruit sans aucune ouverture possible.

Mais, bon, je n’ai pas trop à me plaindre puisque chaque personne m’a fort aimablement répondu son incompétence.

L’un m’a assuré qu’il m’envoyait un questionnaire digne du Kgb pour établir un devis dont le goût, si l’on reste raisonnable ne devrait pas dépasser les 1 500€/an tout compris taxes incluses.



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