Le courage de le dire

Il est courageux cet homme, journaliste en son état, même s’il n’exerce pas sous le joug de régime complètement totalitaire comme il existe à l’Est de notre Europe.

Il a voulu faire vérifier si les sondages à 4 jours des élections fatales avaient vu juste ou « nous mentaient ».

pourtant, depuis quelques temps, les faiseurs de questionnaires à distance, ne cessent plus de dire en désormais forme de rappel que leurs beaux sondages sont un cliché à l’instant T où ils ont été faits.

Mais en aucun cas, ils n’ont pour but de révéler la réalité des urnes, voir tenter prédire l’avenir.

Est-ce que vraiment cela vaut le coup de dépenser toujours plus pour avoir une réponse fausse à une vraie question ? Un pays ami a décidé fournir des chars russes pour que les envahis puissent combattre contre son envahisseur.

La question pour l’Occident est de connaître le niveau de ligne rouge atteint par cet acte courageux.

Et dire que l’on passait que les communistes avaient déserté ce pays de l’est à royaume de tsar an quête de pouvoir.

Hors, ce pays que ses ennemis nomment l’envahisseur, veut se faire passer pour pacificateur.

Ce n’est tout de même pas de sa faute, si les bombes de ses soldats sont tombés sur les bâtiments des villes occupés par des gens civils ne faisant partie d’aucune armée.

Bon, d’accord, certains étaient ficelés.

Mais c’était uniquement pour éviter qu’ils ne soient cible mouvante pour les snipers s’ennuyant ferme.

Que voulez-vous ce pauvre gars a une bande de  chenapans qu’il faut bien occuper.

A propos de cette dernière phrase, l’une de mes connaissances m’annonce qu’il serait plus sage de dire « une bande de  chenapans dont il faut bien s’occuper ».

Je m’offusque, m’insurge « mais ce n’est plus du tout la même phrase ».

Les mots tournés dans un sens ont du sens.

A l’envers de ce qui devait être dit, en perd.

J’ai perdu un ami…

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