Plus de comportement à l’emporte-pièces des forces de l’ordre intérieur sur leurs désormais collègues de la justice.
Après tout, ils sont tous ensemble fonctionnaires d’un état qui se veut nation.
Alors que chante le coq, si fier de son plumage.
Et tentons de voir qui sera le dindon de la farce, espérons pas trop faisandée.
Le combat acté commun, juré, craché, sera la chasse aux gangs dealers de drogues et en premier lieu de cannabis.
S’il est désormais acté que lesdits ont déjà tué, tuent, de plus en plus jeunes, le cannabis lui n’a jamais tué directement quiconque.
Cherchez bien, vous ne trouverez personne.
Par contre il est vrai que cette plante active peut faire des dégâts sur des jeunes cerveaux pas entièrement mâtures.
Mais, il en est de même pour l’alcool, voire le sucre, toutes ces substances addictives et pourtant largement autorisées même si désormais des campagnes de moins en moins immobiles s’actionnent pour prévenir des dangers d’une consommation trop forte.
Il en est ainsi du tabac qui part en fumée.
Le poids des taxes portées sur ces produits dérivés à l’intérieur de nos frontières, invisibles sur le papier mais bien présentes dans la réalité douanière, font qu’un trafic s’opère.
Et, celui-ci est également dangereux puisqu’il entraîne à trafiquer les cigarettes pour plus de rentabilité sous couvert d’un manteau ou d’une station de métro.
Pourtant, ce trafic est encore à la bonne sauvette.
Mais, si par mégarde autoritaire il advenaient que les deux chefs désignés ci-dessus, se mettaient à interdire le tabac, ce trafic s’envolerait sans se gêner.
Alors, pourquoi ne pas essayer d’en faire autant avec cette feuille verte pour mieux garantir une prévention indispensable que seuls les médecins peuvent apporter ? Celui réduirait la main mise des gangs, le temps perdu des forces de l’ordre qui pourraient être occupées à plus sérieux, réduiraient un peu le déficit national et tout le monde serait content à part lesdits gangs et politiques soucieux de se faire place publique pour leur avenir personnel.
