Leur maire(e) a décidé de féminiser le nom de sa ville qu’il gère en Cdd pour participer à l’égalité des femmes hommes.
Cela va grandement changer la pratique dès que le coup de com sera passé.
Mais, il est vrai que le brave homme fait tout comme il faut tout sur le papier pour ce combat.
Tenez, sa troupe municipale est à parité stricte.
Sur sa page internet les hommes sont à gauche et les femmes à droite – ne ricanez pas sur l’éventualité des choses à dire sur leur positionnement – mais, comme lui est un homme, le compte n’y est pas.
Et, l’extraordinaire est que ce bel agencement ne s’inscrit pas pour les équipes concurrentes.
A l’internaute de vérifier le bon engagement de celles-ci.
Le féminisme à trois euros revient en force.
Comme cette communicante d’une grande école d’ingénieurs faisant tout ses efforts pour qu’il y ait au moins plus de femmes concurrents qu’actuellement.
Pourquoi pas ? Mais, pourquoi ne pas râler sur cette anomalie d’une autre université de pointe qui comprend 80 % de filles déclarées ; où sont les hommes ? Et, s’il y a aussi peu de femmes dans les hautes écoles à faire les cadres sup de demain, comment se fait-il qu’il y ait autant de femmes arrivant au pouvoir ? En vérité, le vrai combat sur le terrain serait la redéfinition de certains métiers où la parité ne se fait pas comme dans les strates diverse de personnel soignant.
Il faudrait également veiller à ce que les rémunérations soient identiques et non pas genrées, etc, etc.
Un de mes hebdo pose la question « Uniforme à l’école, vraie ou fausse bonne idée ? » C’est une bonne fausse idée.
Faciliter les petits au port de l’uniforme ne pourra que les inciter à se produire volontaire pour le nouvel engagement militaire qui serait civil.
Ainsi, en cas de guerre, nous aurions à portée de la chair à canons malaxée comme il le faut… Bonne année.