Non, puisque le peuple avait fait savoir qu’il en manquait.
C’est un peu comme les jeux du cirque où chacun attend la mise à mort de l’autre, évidemment.
Mais, en France, la tauromachie n’est plus de mise.
Les galas sanglants ne sont plus retransmis.
Pourtant, elle n’a pas eu de mordant tandis que l’autre attendait les coups durs qui ne sont pas arrivés.
Alors, comme toujours, le dernier jour de la campagne sera le premier pour l’élu(e).
il est marrant celui qui pense être élu avant le passage des bulletins dans l’urne.
Il dit par souci de justice que les minimas sociaux seront donnés automatiquement sans qu’il y ait à demander.
Et, ainsi, il se donne la permission d’être plus dans son octroi.
Pour cacher la forêt qui se trouve derrière ton œil, il parle de la charge qu’il va donner contre les fraudeurs, mauvaises gens qui cumulaient les aides.
Ha, bon, parce que à ce jour, il n’y a aucun contrôle ? Et la poursuite des vrais riches qui font de l’optimisation fiscale, il est fait quoi ? Déjà que lorsqu’ils sont pris la main dans le pot de confitures, ils ont droit de négocier ce qu’ils doivent… Comme l’élection va passer avant lecture passons à autre chose.
Je suis toujours navré à la recherche d’un bon restaurant français de ne point trouver à la carte Tête de veau, entière s’il vous plaît, cervelle voire foi de veau.
Mais, comme aujourd’hui l’assiette ne compte plus, votre recherche sera dans le cosy, l’ambiance, le là où il faut que je sois.
Comme le dit une phrase des des quidams se restaurant, repris dans une nouvelle d’un qui fête ses 3 000 numéros, « C’est pas bon, c’est pas mauvais ; en fait ; c’est pas le sujet ».
