Breega et WaterStart Capital : deux nouveaux investisseurs conquis par le modèle BeOp
BeOp est aujourd’hui le seul interlocuteur permettant aux marques de créer des conversations automatisées et de les diffuser sur un large club d’éditeurs premium en fonction des textes présents sur les pages web de ces éditeurs en quelque clics, et de faire la différence en termes d’engagement, de considération et de préférence de marque. 3 ans après sa création, ce modèle inédit a fait ses preuves : bien installé, il profite de la confiance de 80 annonceurs (Audi, L’Oréal, Samsung, Coca-Cola, Crédit Agricole, Adidas, Edf ). Plus de 250 marques médias l’utilisent, pour une couverture de 32 millions de français. Parmi les éditeurs utilisant BeOp on trouve Le Monde, La Provence, Challenges, Grazia, Caradisiac ou Forbes.
Ces conversations sont présentées en bas d’article pour ne pas interrompre l’internaute et maximiser la probabilité d’obtenir son attention. L’annonceur choisi leur diffusion en fonction des sujets traités sur les pages Web des éditeurs premium, partenaires de BeOp. Indépendante de tout réseau existant, la start-up revendique des taux d’interaction de 1 à 3%, capables, selon elle, de convaincre les annonceurs de rapatrier vers les médias traditionnels une partie de leurs budgets qui avait migrée vers les géants du numérique.
Un modèle qui a également convaincu cette année deux fonds d’investissement :
Breega, un jeune fond européen du digital (Foodcheri, Fretlink, Curve, Sencrop, Exotec ), qui apporte une expertise gratuite via des ressources humaines dédiées (RH, Biz Dev, Finance, Juridique, Communication & Marketing) aux start-ups dans lesquelles il investit.
WaterStart Capital, FCPI de l’acteur d’investissement NCI, qui cible des start-ups en phase d’accélération proposant principalement des innovations d’usage dans l’IA, la robotique, l’IoT, le Web, les médias et la Medtech.
Au-delà des 6 millions levés, ces investisseurs apportent des expertises complémentaires précieuses à BeOp.
« Nous sommes très heureux d’accueillir Breega et WaterStart Capital dans cette aventure extraordinaire : ces fonds très orientés entrepreneurs ont tous deux un état d’esprit similaire au nôtre. La rencontre a été naturelle et a conduit à des solutions immédiates. Leur historique d’investissement et leur réputation auprès des entrepreneurs qu’ils ont accompagnés parle d’ailleurs d’eux-mêmes. En outre, ces fonds offrent des services appréciables. Breega met des compétences transverses critiques pour une start-up (RH, études de marché, identification de KPI’s) à la disposition de ses participations. Quant à WaterStart Capital, ses équipes disposent d’une capacité d’analyse de data permettant l’optimisation de la stratégie de développement commercial. Malin et utile pour une start-up comme la nôtre qui a l’ambition de bousculer le marché normé de la publicité !», s’enthousiasme Louis PRUNEL, co-fondateur de BeOp.
« Chez Breega nous sommes en permanence à la recherche de start-ups pouvant proposer des solutions et produits innovants qui viennent bousculer et renouveler les marchés auxquels elles s’attaquent. C’est exactement le cas de BeOp qui, grâce à leur plateforme technologique, modernise les pratiques publicitaires digitales en les rendant interactives, moins intrusives et plus engageantes, in fine, plus modernes. Breega est donc très heureux de rejoindre la belle aventure BeOp!», ajoute Maximilien BACOT, Managing Partner chez Breega.
« BeOp réussit à innover sur le secteur poussiéreux de la pub internet en proposant enfin une expérience utilisateur au top pour tous les acteurs de la chaîne. Les fondateurs, que nous commençons à bien connaître, sont un parfait mélange d’expérience, de créativité, et d’ambition, et ils délivrent ! BeOp ouvre par ailleurs de très belles perspectives sur un marché qui peine encore à communiquer et que nous connaissons bien : les PME.», complète Yves GUIOL, Directeur Associé chez WaterStart Capital.
BeOp à la conquête de l’Amérique
Forte du succès de l’offre en France, BeOp souhaite entreprendre deux chantiers :
- Une partie des fonds sera utilisée pour renforcer ses capacités de conseil créatifs, afin de mieux accompagner les agences et les annonceurs dans la transition des budgets publicitaires classiques vers des campagnes conversationnelles BeOp.
- La plus grande partie des 6 millions sera investie dans le développement d’un club d’éditeurs premium aux États-Unis. Berceau des standards publicitaires mondiaux, BeOp a identifié une réelle appétence des éditeurs américains pour ce type de solution conversationnelle. Le démarchage débutera fin 2019 pour s’intensifier en début d’année prochaine.
Gérer la voie retour : une révolution dans la communication publicitaire
Avec ses formats conversationnels, BeOp signe une petite révolution sur le marché publicitaire en faisant ainsi entrer le monde de la publicité (des messages unilatéraux présentés aux utilisateurs) dans celui de la communication (qui elle est bilatérale) : ce qui se révèle bien plus naturel, engageant et rémunérateur. Son système ouvre des possibilités inédites aux annonceurs telles que la collecte de données déclaratives et comportementales instantanées et ciblées ou encore la réalisation d’études et d’enquêtes, le tout sans nécessiter de développement technique. Grâce à BeOp, ils disposent d’un moyen efficace pour faire découvrir leur offre, améliorer leur connaissance clients et recueillir des informations auprès d’eux. Les taux d’engagement obtenus par ce nouveau dispositif sont de 10 à 40 fois supérieurs à ce qui peut être réalisé avec des formats classiques.
« Notre technologie cible les internautes ayant fini de lire des articles, choisis en fonction des textes présents sur les pages. Cela permet aux marques d’engager des conversations avec les internautes au moment et dans le contexte les plus opportuns. Le niveau de performance obtenu par les campagnes BeOp fait la preuve qu’il n’est pas forcément obligatoire d’avoir recours aux cookies, même si cela reste possible sur notre réseau. À l’heure ou le RGPD et la e-Privacy questionnent l’avenir du cookie dans la publicité, c’est une véritable bonne nouvelle pour les annonceurs », conclut Nicolas Sadki, co-fondateur de BeOp.