En Chine, notamment à Shanghai, c’est la politique du « zéro covid », l’idée n’est pas de vivre avec ce coronavirus mais de l’éliminer totalement.
Dans la plupart des pays, c’est le cas en France, les confinements n’ont pas été organisés pour atteindre le « zéro covid » mais pour éviter la saturation des hôpitaux, principalement des services de réanimation.
Puis tout a été basé sur la vaccination dès que cela fut possible en décembre 2020, même si les vaccins disponibles ne sont pas vraiment efficaces, ni vraiment durables, ils apportent une protection, à cela ajouté les anticorps naturels développés par les anciens malades.
A Shanghai (mais pas seulement) le gouvernement a ordonné la mise en place d’un confinement très dur, avec l’ouverture de centres « d’isolements » pour les « testés positifs » dans des conditions de vie qui laisse à désirer.
Le problème de la Covid-19, quel que soit le variant, est que cette maladie est très contagieuse, il suffit d’un seul cas pour que le virus se propage.
Malgré les tests à répétition à Shanghai, il y a un temps d’incubation durant lequel l’humain est porteur, non détectable et contaminant … rien à faire contre cela.
Par ailleurs, rien ne prouve que les équipes qui réalisent les tests ne soient pas eux même porteur du virus, malgré leurs tenues (le virus peut être sur leurs tenues et l’attraper en se déshabillant).
De toutes les manières, quelle que soit la durée et la dureté du confinement, il ne peut pas être éternel, et dès l’instant où il sera levé, le virus reprendra sa contamination à partir des cas restants.
La Chine devrait tirer enseignement sur les autres pays, vacciner à tour de bras, soigner les malades et accepter – comme nous – de vivre avec le virus.
