Il avoue, aujourd’hui, que le gouvernement s’est bien planté sur l’histoire réelle aventureuse des masques.
Faute avouée à moitié pardonnée d’autant plus qu’il n’y a plus d’élection en cours.
Sauf peut-être la crainte pour le réélu de voir une tenancière d’extrême droite prendre sa place.
Ce qui ferait grosse tache sur son curriculum-vitae.
Les patrons ne manquent pas de souffle.
Ils essaient de battre le record inflationniste de ces derniers temps.
Mais, c’est pour la bonne cause puisque les demandes d’emplois ont progressé de 6 %.
Ce qui rend totalement incompréhensible la légère augmentation constatée sur le marché du chômage que l’on croyait en berne.
Et, certainement rien à voir avec la belle qualité des postes à pourvoir donnant accès direct à de superbes formations autorisant à croire à une carrière prometteuse.
Adorable, tellement c’est inconvenant.
Tenez, vous êtes en panne d’un réseau qui se croit être agrume.
Vous appelez les maîtres des lieux pour leur en faire part.
Tout d’abord, vous devez vous affronter à toute une série de question pour voir si le process doit se poursuivre gratuitement ou non.
Car si des fois, la famille gênée pouvait se transformer en habile technicien, c’est tout bénéfice pour l’entreprise qui peut se permettre de louer cher la tenue d’une route céleste mal entretenue.
Car c’est connu, pour répondre à la grande course à l’échalote de l’implantation de la fibre, les équipes formées au pas de course, ont fait avec les moyens du bord, c’est-à-dire n’importe quoi malgré leur bonne conscience professionnelle.
Une fois ce cap déterminant passé, une vois humaine tente de vous faire rendre raison.
Mais c’est elle qui se doit à la raison de faire appel à un technicien qui vous appellera quand il voudra pour vous fixer une rendez-vous à la date qu’il lui convient sur un espace temps de 5 heures afin de pourrir un peu plus votre quotidien.
Merci qui ?
