S’il faut les croire

Qui peut y croire, les politiques qui se disent écolo sans pour autant être du pays, réussissent à rendre verts leurs concitoyens.

On se demandent vraiment si les premiers sont avec ou contre ces derniers.

Déjà, l’idée de virer les voitures populaires appartenant aux classes correspondantes, hors véhicules de collection qui sont d’une autre classe, était subtilement dire « chassez ces pauvres que je ne saurais de mes yeux voir ».

et les laquais ont réaliser le rêve de ces gens de biens.

Tant pis pour les artisans dont l’outil de travail a souvent plus de 10 ans.

Il n’a qu’à prendre les transports collectifs avec tout son barda.

Désormais, les deux roues n’auront au stationnement que s’ils payent leur dîmes comme les quatre roues.

3 000€  de plus à l’année, cela va forcer le patron à donner la prime Macron.

Mais, que l’on ne s’y trompe pas.

La sortie pour l’entrée de la gloire est le tout électrique.

Avec une auto, avec une moto électrifiée vous pourrez circuler comme un coq sur son fumier fier de pouvoir avoir pû vous l’acheter.

Et bisque rage pour les moins fortunés, ils n’ont qu’à travailler plus pour gagner plus comme le dit si bien ce gouvernement fier de faire savoir que chez eux il n’y a pas d’heure chômée.

Il y a aussi des idées, certes bonnes dans un monde idéalisé.

Mais lorsqu’il s’agit d’un monde libéral mondialiste capitalistique, l’on trouve sans problème le nœud cornélien de la défaite annoncée.

Ainsi, le réélu a, comme  par hasard, voulu installer son diktat dans le Sud déjà pris sur sa gauche avancée.

Il voulait réformer l’école.

Donner toutes leurs chances aux gamins en privilégiant certains.

Et, dans ce monde marin, l’égalité est le vice de toute mère, les profs, instits et directeurs n’en veulent pas.

Eux ce qu’ils veulent ce sont des crédits pour réparer au sens propre comme au figuré, leur école et qu’on les laisse travailler.

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