Parfois, même, ils se croient importants alors ils font de gros caprices d’enfant mal élevé.
Ce n’est pas la faute des parents.
Mais celle du système dans lequel ils vivent, nous vivons.
Payé ou pas, le salarié reste salarié à la solde du patron qui en fait ce qu’il veut.
Et, ceux qui sont parvenus le disent tout bas dans un murmure bas de plafond.
Plus vous haut situé dans l’échelle salariale, plus vous côtoyez l’homme de pouvoir argenté.
Plus vous devez craindre ses foudres même quand il daigne vous entraîner dans un resto huppé avec un bonne tape dans le dos.
Vous aurez peut-être le droit, vous aussi, de l’emmener balader.
Mais la tape, jamais, vous ne faites pas vraiment partie de son monde.
Regardez ces sportifs qui sont en haut de l’affiche.
Ils sont fiers, ils crânent d’autant plus fort qu’ils ont des primes mirobolantes.
Mais, in fine ils sont les gladiateurs des temps modernes.
Leur rôle principale est d’occuper les foules.
Les enthousiasmer pour les empêcher de réaliser leur sort.
Alors qu’une fois encore, en parcourant les nouvelles qui vont vite.
D’autant plus vite qu’elles se renouvellent à un rythme insolent.
Ce footballeur, dieu des stades a atteint son âge retraite.
Il faut le faire disparaître.
Et toujours le même souci.
Celui que ça coûte le moins cher possible car d’autres attendent en salle d’attente.
Et ce n’est pas le réélu qui malgré son admiration pour la réussite, ses appels discrets dans le privé qui changera quoique ce soit.
Alors, ces astuces pour faire passer en douce l’âge pivot du départ à plus tard ne donnera aucun espoir de durée supplémentaire pour ces gars.
Ce serait bien qu’il comprenne au plus vite.
Peut-être alors, lâcherait-il les bourses trop maigres des salariés qui voudraient en finir de ce servage pour finir leur vie en beauté calmement.