(Re)virement

Bien sûr, face à cette pandémie qui perdure et mue continuellement en prolongation de variants.

Les français, vaccinés à 90 %, risquent de ne plus vouloir s’obliger pour une minorité qui ne veut rien entendre.

Ainsi, pour les entendre, seul existera, désormais, le pass vaccinal.

Les autres devront restreindre leurs envies d’aller et venir dans les endroits qui leurs seront interdits.

Deux blocs risquent de se confronter.

Mais, à terme, n’y aura-t-il pas une demande forte autoritaire d’instituer une loi pénale sanitaire.

La Démocratie risque de pencher du mauvais côté.

Bien entendu, au moins dans un premier temps – mais durera-t-il longtemps – il faudrait séparer le délit sanitaire de celui qui cause un risque pour les autres, refus de se protéger avec la possibilité de transmette, avec celui du refus de soin pour soi et tant pis pour lui seul.

Tout cela n’est pas très joli.

Mais, ce n’est vraiment pas très classe de faire prendre des risques aux autres pour sauvegarder sa liberté chérie individuelle.

Dans une Démocratie, qui doit dominer l’autre de la Liberté Individuelle à la Liberté collective ?

Dans un précédent post, j’avais fait part de mon étonnement de la version « allongée » de l’entretien-interview de l’illuminé qui ne sait pas encore qu’il est candidat à rester dans son fauteuil doré.

Et, pour faire teasing en excuse déguisée, une des présentatrice en charge de rappeler l’importance de ce moment, et non pas seulement pour gonfler un peu plus l’audimat de l’ensemble, déclare qu’il y aura, notamment en plus, la position écologique de l’homme.

C’est beau de couper l’herbe sous les pieds de ceux qui l’attaquaient à ce sujet de dire qu’il n’en avait pas parlé.

Y-a-t-il d’autres moment de bravoure sous le manteau à sortir avant que sa parole soit prise en compte dans le décompte du Csa en faveur de la campagne citadine très présidentielle ??

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