Qui s’assemble…

Et c’est parti pour un prochain.

Le 1er de l’intérieur use et abuse des malheureux événements dus aux dégâts causés par le trafic de(s) drogue(s) pour se positionner à l’échéance à venir dont il voudrait qu’elle le porte dans les palais dorés de l’Élysée.

Aussi, pour ce faire, il n’hésite pas à employer des termes que nieraient l’extrême droite extrême.

En conséquence, il va jusqu’à dire que c’est le consommateur qui est responsable des morts actuelles.

Inutile de lui faire remarquer que si l’usage des drogues concernées étaient en vente libre, même sous contrôle médical, les trafiquants iraient voir ailleurs.

Non, cet homme a besoin de ces malfrats pour se faire mousser : toujours plus de force contre la violence.

Jamais, l’espoir d’une disparition par une méthode plus douce.

D’ailleurs, c’est vrai, cette position ne serait pas rentable pour retenir l’agrément de son audimat droitier.

Ce faisant, il utilisera une partie de son temps pour arriver à son objectif.

Et, c’est ainsi, que des actes inadmissibles vont s’amplifier.

Ainsi, aujourd’hui, tous les habitants d’un logement social locatif sont expulsés car l’un des leurs a été surpris en volant des marchandises dans un magasin lors des émeutes.

Et tant pis pour eux s’ils se retrouvent à la rue.

De toute façon, l’auteur des faits est lui au chaud dans une prison, certes surpeuplée mais ce n’est pas la rue.

Ah vivement le rétablissement de la peine de mort.

Cet homme abusant de sa fonction, s’est cru obligé d’embrasser une sportive, championne du monde, sans qu’elle soit d’accord.

Tout le monde s’offusque, certains de mauvais foi saisissant l’occasion qui pourrait faire roi le larron qu’il est, et l’homme réagit.

Contrairement aux espoirs, il restera en poste, fier d’être coq macho.

Qu’on se le tienne pour dit : ce n’est pas un baiser qui l’obligera à obéir à des mal léchés.

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