Alors ce dernier a compris qu’ils devaient renvoyés ses joujoux sur toute l’Ukraine.
Dans ce conflit, une chose est étonnante, c’est le silence assourdissant de ceux de l’intérieur qui se disaient totalement opposés à cet individu.
Seraient-ils désormais tout contre cet homme ? L’exploit est que tous les connaisseurs auto-proclamés de ces deux pays, anciens ambassadeurs compris – mais un verre ça va, deux ça ira, trois bonjour les dégâts – affirmaient dans leurs sciences apprises que le faux tsar n’irait.
Hé bien si, il y va et en force en plus.
Mais l’Otan veille, alors… Aux bombes russes écrasant les forces ukrainiennes, l’Occident oppose communiqués sur communiqués qui ne font même plus sourire le prétendu tsar.
Ce qui, sans jeux de mots, me frappe le plus en tentant d’essayer de prendre de la hauteur, c’est le même mécanisme puissant qui guide les êtres de la Terre.
Quelque soit la population, le pays observé, toujours les mêmes coutumes, les mêmes principes.
Bien sûr, tout cela est mâtiné de détails superflus qui laissent croire à une grande différence.
Dans le vécu certainement, mais pas lorsque l’on observe sereinement les choses.
Toujours la même croyance d’une divinité ayant pouvoir d’action sur nos âmes, nous permettant ainsi de nous dédouaner des nôtres.
Toujours cette supériorité de l’homme sur la femme, en surface extérieure seulement.
Puisque c’en est autrement dans l’intimité du foyer.
Le fort sur le faible obligeant ce dernier à travailler pour le premier.
Les parents se croyant obligés de lancer une torgnole à leur gosse, exaspérés devant leur inefficacité.
La peur de l’autre l’autre amenant forcément l’anéantissement de l’existant.
La cueillette, d’abord, puis la chasse, puis la conquête de nouveaux espaces, puis la guerre…