Que vouloir ?

Certains voudraient retirer toute notion d’unanimité au sein de de l’Onu.

Ainsi, pensent-ils le va-t-en guerre en faisant partie ne pourrait-il plus bloquer les décisions acceptées par les autres.

Effectivement, dans la théorie cela va de soi.

Mais, si cette notion disparaît, qu’elle grande, voire petit, nation laisserait le sort de son pays entre les mains des autres ? Pas beaucoup, si ce n’est personne.

Et, par voie de conséquence, l’Onu n’existerait plus.

Par contre, l’on peut s’étonner que l’un du groupe puisse jouer les va-t-en guerre sans que les autres en aient été informés.

Cela voudrait-il dire que l’on ne se parle plus beaucoup dans cet hémicycle.

Si la guerre en Est de l’Europe, qui n’a d’ailleurs pas commencé ces derniers temps, devait rendre un avis positif .

Ce serait celui de prendre conscience que les grandes nations partenaires doivent se considérer comme telles.

Et non comme des adversaires où à chaque fois seul le bon coup est de rigueur.

L’on a appris deux choses lors de son défilé du 9/05.

Celui qui se voulait tsar d’un empire non déchu a déclaré comme à son habitude que les méchants de l’Ouest voulaient lui jouer un mauvais tour en utilisant le pays nazi au bords de ses frontières.

Il n’admettra en aucun cas que les forces de l’Otan installe une base même non nucléaire sur ce territoire trop incertain.

Et peu importe si lieu aux frontières il a fait installer tellement de têtes d’ogives nucléaires qu’il a du utiliser une enclave européenne à lui pour en installer d’autres.

Il est évident qque dans son discours ce n’est uniquement que pour faire savoir qu’il pouvait se défendre.

Peut lui chaud que dans sa stratégie militaire dûment approuvée par ses pairs que cette arme n’est pas considérée au contraire des autres pays comme défensive, mais bien comme offensive.

Mais, jamais par mauvais temps il enverra ses joujoux en l’air puisque son avion amiral (!) ne peut voler en ces circonstances.

Quitter la version mobile