L’homme chantant, peut-être son père.
Il pense être très attentionné.
En voulant la consoler, il lui dit, entre autres, de ne pas s’en faire, c’est la vie qui veut ça… Je n’ai pas encore entendu l’égérie verte féministe voulant à bas les hommes s’élever pour faire disparaître cette monstruosité.
Sur le même support la chanson de Lilli qui est venu à Paris de son plein gré vider les poubelles.
L’ironie est la pub qui défile juste après pour nous inviter à prendre l’avion pour voyager. Le monde français est déboussolé.
Après avoir vu comment une minorité peut faire valoir son point de vue et l’imposer à tous.
Après, avoir entendu, la droite la plus stricte refuser la réforme de la retraite.
Nous nous trouvons devant fervents admirateurs du grand capital dire que rien ne va plus dans le monde capitaliste.
En effet, un peu, beaucoup, c’est suffisant.
Mais, trop c’est trop, ça va se voir.
Et voilà qu’ils pourfendent leurs entreprises préférées de faire trop de bénéfices sur le dos des petites gens.
Après ces sommes démesurées distribuées aux actionnaires, comment faire croire au fameux ruissellement tant vanté par le réélu à faible majorité ?
Certes, parmi eux, il y a quelques petits actionnaires avec leurs petites actions sui goûtent aux miettes du pactole.
Mais, ces économistes voient bien que l’entourloupe est bien trop visible pour ne pas être discutable.
Alors, ils discutent, conseillent.
Et espèrent que cela s’arrête là.
Pas les énormes bénéfices, mais la montée du mécontentement à faire mordre le tapis de n’importe quel richard venu.
Pour que les riches soient tranquilles, il faut absolument que les pauvres n’aient pas conscience de l’immensité de leur fortune.
Et quand trop, c’est trop, alors les sans culottes d’hier pourraient bien se transformer en sans dent à gilets jaunes.
Et, ils ne passeront pas par le trottoir d’en face.