Où nous entraîne cette dérive ?

Encore une fois, le gouvernement, sous la houlette du petit chef de l’intérieur, se fait retoquer.

Il voulait détruire des bâtis de bidonville sans (re)penser (re)logement.

Il s’est trouvé un juge pour dire que ce n’était peut-être pas bien.

Ouf, la république est sauvée, nous sommes encore en Démocratie malgré la volonté génocidaire d’un haut politique du cru.

Cela mérite un concert de louanges même si une parade sera trouvée pour mettre encore plus bas que terre des êtres humains dont la seule malchance est d’être parmi les plus pauvres même s’ils viennent d’un pays encore plus pauvre.

Et, évidemment, comme dans les Républiques brunes, tout cela se fait sous la couverture d’une délinquance qui ne s’effacera pas elle.

Le réélu à faible minorité ne sait pas donner de l’amour mais aime bien en recevoir.

Sans cri ni trompette, il s’arrête à l’impromptu dans des villages acquis à sa cause.

L’intérêt est pour lui la dose d’amour reçu quotidiennement et la preuve que, si on les oblige, le peuple ne fais pas de bruit pour sa sainteté.

Dans une série de pubs pour un assureur, il est dit que les tarifs restent raisonnables car il y a peu d’actionnaires.

Et dire qu’il y a seulement dix ans, cette mutuelle s’énorgueillait comme les autres mutuelles, appelées il y a plus de 40 ans Mutuelles sauvages, de n’avoir aucun actionnaire mais seulement des sociétaires.

Ce qui changeait, alors, tout.

Jusqu’où iront-elles ? Recevoir les Une des principaux journaux qui s’y exercent, m’inspirent.

Mais de voir de plus en plus le patronyme de la cheffe du clan de l’extrême droite me glace.

Sous le couvert de mots qui n’engagent que ceux qui y croient, elle promet une paix sociale en prévoyant l’expulsion des immigrés toute catégorie.

C’est du en même temps dont l’on a pu voir les effets néfastes lorsqu’il est appliqué par des gens coincés dans leurs beaux costumes taillés sur mesure.

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