Où est le problème ?

Doit-on considérer un certain lien de cause à effet ? Dans le cas présent, non, elle était cheffe des restos du cœur qui n’ont jamais réussi à disparaître malgré le vœux toujours exprimé de son créateur.

Elle est désormais cheffe d’une assemblée qui se (re)cherche une majorité absolue pour réaliser ce pourquoi les députés ont été élus.

Aucun lien de cause à effet, effectivement.

Mais ça cause bien des soucis pour le futur.

De toutes manières, les capitalistes arrivent à leur fin.

La France perd de plus sa spécificité.

Hier, elle était plutôt au-dessus du panier par rapport aux autre pays.

C’était vrai pour la sécurité sociale, indemnisation chômage, l’éducation nationale, les retraites, etc.

mais à vouloir faire plaisir à leurs maîtres patrons de l’économie non sociale, nos politiques de droite comme de gauche au pouvoir, n’ont eu de cesse de ramener la France dans la moyenne, voire en-dessous des pays dits industrialisés.

Même dans les droits de l’homme, ils ont réussi à faire honte aux français.

Mais ce n’est pas assez.

Il leur en faut toujours plus dans la régression.

Ils réduisent les cotisations sociales pour réduire les indemnités et pensions qui en dépendent.

Ils réduisent les impôts pour les plus riches pour accroître encore plus la fracture sociale.

Ils veulent augmenter la durée du travail hebdomadaire ainsi que celle des années à travailler.

Et, c’est le ministre des l’économie qui se croit grand, de clamer partout que toutes ces régressions permettront aux français de mieux vivre et bien.

Sans doute parlait-il pour ceux qu’il connaît et coutoie personnellement.

Le chef de guerre du pays injustement et frauduleusement envahi par un qui se veut tsar mais pas en Empire déchu, se congratule des ses succès militaires.

Les habitants aimeraient bien, eux, que celui-ci cesse de faire la bombe.

Ça devient gênant à la fin : eux ont un vrai travail à satisfaire et une famille à nourrir.

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