Nous savions, mais…

Déjà nous savions l’importance donnée aux difficultés des puces en logiciels embarqués dans certains véhicules dont l’interprétation dans la réalité laissait supposer qu’il valait mieux s’en passer.

Les exemples sont légions tels les images fantômes reçues par la voiture d’Outre Atlantique, les freinages brusques lorsque le variateur de vitesse prédictif est enclenché, les alignements dans la voie surprenants, etc.

Mais, l’exemple d’un qui passe son temps à faire des essais de ce type d’engins a subi une autre défaillance.

Celle d’une borne de recharge toute neuve qui ne reconnaissait pas la carte valide d’un de ses principaux partenaires.

C’est à nous rappelé des ennuis essuyés par un directeur général d’un grand groupe de véhicule constatant que son automobile tout neuf, tout beau, et surtout tout moderne n’était lui non plus pas reconnu par le même raison sont il est le principal actionnaire.

Déjà que l’on avait quelques belles réticences à dépenser plus de 40 000€ dans ce modernisme nous condamnant à la ville urbaine, l’on se demande bien quelles vont être les autres réjouissances.

Non, ne me dîtes pas que notre nucléaire va nous lâche pour relancer notre seul turbine à charbon à haute valeur ajoutée en Co2.

Certains vont dire que c’est faute à pas de chance.

La Covid est passée par là, les révisions ne peuvent se faire à la vitesse de la lumière étant donné le nombre d’absents au travail.

Mais, j’ai comme un doute.

Justement, la gestion des risques n’a-t-il pas pour but de prévoir le scénario le plus catastrophe ? Pour soit l’évincer en toute connaissance de cause, soit mettre un plan au cas où.

Alors nous en sommes où ? C’est un peu comme l’hôpital, où les administratifs sembles bien plus optimistes que le personnel médical d’où sans doute cette volonté depuis des décennies de fermer des lits.

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