Mots de vilains

La première ayant été choisi par le réélu, l’on ne parle plus que de sa capacité à faire.

Un packaging de bons grains à moudre pour consoler les Français du pouvoir d’achat qui s’affole.

L’on fait un petit tour en terre de soi-disante gauche même si le maire est ailleurs pour rappeler qu’elle en est.

Elle fait débat avec ses consœurs pour rappeler son intérêt pour hisser le niveau des femmes.

Elle s’active pendant que le réélu fait la lessive.

Par contre, pour l’instant ne pas parler de la réforme des retraites, 1er dossier à venir sous le coude.

C’est le sort des législatives qui donnera le la tralalalère ou ça ira ça ira..

Si les journalistes se désespèrent d’avoir nouveaux ministres à se mettre sous la dent, ils ressortent les lieux communs du déjà dit.

Mais, ils ont raison puisqu’ils ont réussi à faire sortir le mot du siècle d’un ex-ministre du réélu qui pourtant voit loin « pignoler ».

Et, comme il ne s’agit pas d’un homme du commun, n’allez pas croire que cela signifie autre chose que de se prendre la tête.

Mais, il est vrai que celui qui n’était pas encore réélu, fait un véritable doigt d’honneur en affirmant que son premier – avant l’autre – a voulu monter une écurie en Havre de paix ; « il finira palefrenier ».

C’est beau, c’est fin, c’est du pur illuminé.

Il est vrai que cet ancien boxeur fait fort en ne voulant pas se laisser enfermer par celui qui l’a sorti des ornières de son impasse ombrée.

Et, le réélu ne supporterait pas ce qu’il pourrait juger être une trahison.

Il est vrai également qu’il s’y connaît bien.

A propos, savez-vous pourquoi est-ce que la politique traditionnelle se meurt ? A la force de penser que pour y arriver il faut être « madré », l’on s’étonne de trouver des voyous emprisonnés.

Quitter la version mobile