Mai, espoir

Les patrons français en rêvent, la « Gig Economy » en Inde le fait avec zèle.

85 % des salariés sont en situation précaire totalement pieds et poings liés pour un salaire les laissant dans la misère.

Et les nouvelles plate-formes, telles qu’on en connaît en France, ne font qu’aggraver la situation.

Rien de nouveau sur la plan politique en France.

Les forces de l’ordre sont dans la rue car ils n’acceptent qu’un de leurs collègues soit devant les juges pour avoir, a priori, tirer sur un malsain alors qu’il n’était en aucun cas en danger.

Un ministre est dégagé du soupçon d’abus de position pour flinguer une ex collègue qui exerçait dans le cas adverse.

L’illuminé réélu s’anime pour enfermer les soi-disant modérés dans son parti fourre-tout pour ne laisser en opposition que des extrêmes radicaux qui n’aurait aucune chance d’arriver eux-mêmes au pouvoir.

Les extrêmes de droite répondent présents à la volonté présidentielle, notamment en poursuivant leur guerre interne en plein extérieur.

Pourtant, pourtant, si l’on regarde de l’autre côté de l’échiquier politique, un espoir pointe.

Le recalé du deuxième tour de l’élection présidentielle passée, mais arrivé largement premier du peuple de gauche, ouvre les bras à ses pairs pour une nouvelle union populaire.

Cela devrait permettre, si elle va jusqu’au bout redonner un vrai espoir à des millions de personnes dont beaucoup n’osaient dire qu’ils en étaient étant donné la déliquescence de leur camp de la honte.

Sur le plan de l’Europe, les pays réunis qui attendaient le moindre prétexte pour faire voir leur différence, ont considéré la guerre organisée par celui qui se voudrait tsar d’un Empire déchu, comme un bon moyen pour se rabibocher sur le principal.

Qui a dit que la vie n’était pas pleine d’espoir ? Et puis, rappelez-vous en mai faites ce qu’il vous plaît.

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