Alors que son cours ne dépend pas de son coût mais de celui de son frère, son prix ne cesse d’augmenter.
Alors même, que fée électrique baisse sur tous les marchés, le français lui paye de plus en plus et il a été prévenu : il paiera encore plus les années prochaines.
Il y a du gaz dans l’eau ma petite dame, comme dirait mon voisin de palier à la matrone du dessus.
Pourtant, la encore publique d’entreprise nationale a depuis longtemps amorti ses dépenses de centrales réalisées au milieu du siècle dernier et s’est royalement goinfrée depuis, si l’on veut bien porter attention la courbe de vie d’un produit.
Mais, la demande étant de plus en plus pressante, il faut prévoir de nouvelles structures, ce qui expliquerait l’augmentations actuelles.
Sauf que, la toujours belle entreprise applique toujours des tarifs démentiels hors de propos de son coût d’acquisition.
Sauf que, où sont passés ses bénéfices antérieurs ? Sauf que, ses bénéfices actuels devraient suffire à se ravitailler dans une parfaite autonomie économique.
Et, ce ne sont pas les augmentations de taxes qui l’aideront à quoi que ce soit puisque les sommes outrageusement récupérées iront droit dans l’économie nationale qui n’en a pas vraiment besoin à ce jour ; ni la nuit, ni demain.
Rappelez-vous, les dépenses de la dette actuelle, coûte à la population 4,6 % de son chiffres d’affaires pour parler entreprise.
Or, 20 ans en arrière, c’était pratiquement le double.
Mais, les hommes nouveaux nommés par le réélu par défaut à faible majorité relative, ressassent ce qu’ils ont appris sur les bancs de leurs écoles privées : ils font comme les anciens à seriner les mêmes refrains du c’était mieux hier, donnez-nous votre argent.
Toutefois, il est vrai, que les choses ont bien changé : hier, il était question de sous, aujourd’hui c’est d’Euros dont il est question…
