Les sauvages sont partout

La louve parricide de l’extrême droite qui aime bien les chats et les jeunes bobos, mais pas encore les migrants, s’est évadé sur le parvis du Louvre de paris.

Mais elle n’avait pas la permission de faire ce qu’elle a fait dans ce lieu hautement privé et artistique.

C’est surtout ce dernier thème qui permet de demander le retrait du clip car les établissements publics bénéficie du classement privé.

Et dire que des gens qui se disent plus modérés, ne peuvent s’empêcher l’enchère politique en réclamant des barbelés avec lames de rasoir aux frontières européennes.

Et peu leur chaud que des enfants puissent se taillader en voulant obéir à certains adultes.

Ils n’ont qu’à mieux choisir leur tuteur.

Des députés, de droite comme par hasard, émettent l’idée de suivre nos camarades francophones du grand froid.

Évidemment dès que l’on peut taper, mettre une sanction, sur les seuls salariés fait bon ménage dans cet hémicycle haut perché et hors sol.

Dans cette mesure, ne sont évidemment pas visés les patrons, les indépendants, les rentiers, les pensionnaires de retraite.

Eux, on ne les touche pas, ils font partie de la famille.

Les autres, il faut continuer à les dresser les asservir pour qu’ils puissent toujours continuer à servir.

L’un ancien d’Outre Atlantique désormais déchu proclame qu’il a gagné.

Il ne peut le prouver, alors basta la rationalité et tombez braves dans la croyance.

L’on pourrait même aller plus loin.

Si l’on ne croit pas au système que l’on a pourtant saisi à bras le corps pour s’en servir sur cinq ans, l’on en sort.

Mais il refuse toute argumentation qui ne rentreraient pas dans ses propres convictions.

Ce n’est pas du complotisme, mais l’on s’en rapproche dangereusement.

Et, malheureusement, une grande minorité importante veut y croire.

Il y a des chapelles que l’on aimerait voir disparaître pour le bien être de notre genre humain.

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