Les oubliés sont là

Les resto du cœur demande à corps et à cri que la réduction d’impôts imputable aux frais de déplacements des bénévoles soient transformé en crédit d’impôts.

Ainsi, les nombreux bénévoles, ils ne sont pas tous riches, qui ne paient pas d’impôts pourraient avantageusement profiter de cette mesure.

Ben oui, c’est vrai.

Mais, si lé réélu cède pour ce cri, comment va-t-il faire pour avantager autrement ses copains d’entre-soi ? En fait, lui, il est pour féliciter et avantager ceux qui sont forts, réussissent.

Ceux qui ne paient pas d’impôts aujourd’hui sont les faibles.

Ceux qui n’ont pas su faire.

Sauf bien sûr, les petits malins qui gagnent beaucoup sans rien redonner, ou si peu, à la communauté.

Enfin, un article, un bon article d’un de mes hebdomadaires préférés dont j’adore l’abonnement, sur les hommes battus.

Ils ne sont pas légions.

Il faut donc en parler sinon  les glorifier.

Bien entendu, on les entend nettement moins que les femmes qui sont, toutefois, nettement plus nombreuses à subir ces sévices qu’on aurait aimé d’un autre temps du passé.

Mais, 1 million 2 d’hommes concernés, ce n’est pas rien.

Espérant que la parité recherchée ailleurs n’ira pas jusqu’à aller aux 3 millions 6 de femmes atteintes par ce syndrome de la lâcheté du pouvoir dans les couples.

C’est un fait, l’être humain est un animal parmi tant d’autres.

Et, en tant que tel, il faut des chefs, des dominants.

Et tant mieux si tu en fais partie.

Et tant pis si c’est toi qui prend la haine de l’autre, les coups avant l’apéro.

Et, bien souvent, ce n’est pas au lit que les pansements se font.

Bizarrement, mais est-ce étonnant, beaucoup de ces messieurs pris au piège sont à l’extérieur des mâles dominants.

Mais, de retour au foyer, ils apprennent en permanence ce que dominé veut dire.

Certains disent même que leur éducation ne leur donnent pas à répliquer.

D’autres se rappellent des moqueries voisines sur qui porte la culotte à la maison.

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