Les gens du Nord

Jusqu’au jour d’aujourd’hui – c’est juste pour cette célébrité écrivain de son état, qui affirme sur tous les plateaux qu’il n’aime pas ceux utilisant cette expression qu’il trouve désuète et surtout inappropriée – donc à ce jour de maintenant, je n’ai vu du Nord que le sol de Marquenterre qui se trouve être juste en dessous du territoire du Pas de Camais, mais n’en est pas.

 D’ailleurs, y allant uniquement avec des amis faire des photos, je me fichais pas mal du reste même si la baie de Somme est belle en marée haute et basse, comme l’arrière pays que l’on croirait non dompté.

Mais, pour le peu fréquenté, les gens d’alors me semblaient plus accueillants que ceux d’ici pas vraiment du grand Nord puisque du territoire de Berck.

Pas la peine de faire la fine bouche, les paysages sont grandioses et non rien à envier à ceux d’autres régions.

D’ailleurs, il me semble que la lumière nous donne sa pleine expression ce qui n’est pas rien.

Pourtant, les gens d’ici, ayant rapidement compris comme ceux du Sud, l’intérêt des touristes en masse, ne se gênent pas pour faire voler les prix.

La tradition à 1€40 est assez courante même si elle s’appelle autrement pour donner le change.

Et, malgré trois boulangeries de centre, difficile de trouver du pain cuit, vraiment cuit sans qu’il soit sec… Et ne parlez pas de ces fameux petits trains qui fait le circuit des plages pour arriver au clou du spectacle : la vue idéale sur phoques de pleine mer.

Or, il se trouve que ces derniers apparaissent uniquement en basse marée ; mais ce n’est pas dit dans la chanson.

Je le sais, j’ai fait le parcours, mais à pieds pour prendre des photos du spectacle merveilleux qu’offre la mer Manche où s’échouent parfois quelques migrants en perte de sens.

Non, les gens d’ici ont l’air sur la défensive comme voulant écarter la crainte d’être envahis ?

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