Le passé n’est pas sûr dans le futur

Le champion olympique à médailles d’or continue de nager en eaux troubles.

Pour éviter le grand plongeon, les forces de l’ordre ont renouvelé sa garde à vue avec l’accord de la justice en cause.

Vivement que les hommes apprennent à se conduire sans franchir la ligne rouge pour que les femmes n’aient pas à désespérer d’aller porter plainte.

Ceci dit qu’un adulte puisse abuser d’une jeune adolescente est inexcusable même si elle est aguicheuse et lui Don Juan.

Et le baratin de la majorité sexuelle à 15 ans ne vaut que si mademoiselle, ou damoiseau, fait son choix en toute connaissance de cause et non sous la coupe de quelqu’un de plus fort mentalement.

A notre époque, pourquoi est-ce que les pharmacies du dimanche doivent attendre un décret pour pouvoir ouvrir à toute heure de n’importa quel jour.

C’est comme les boulangeries dont on comprend mal l’interdit d’ouverture permanente alors que les grandes surfaces ouvertes font leurs pains tout le temps qu’elles veulent.

Il serait peut-être temps de s’adapter à notre temps d’époque et non conserver le passé.

Si le conservatisme en temps de guerre peut-être bon pour le temps à prendre avant d’être pressé de partir la fleur au fusil qui n’aurait aucun sens aujourd’hui.

La nostalgie d’un temps passé forcément meilleur au niveau de notre oubli est une erreur du présent.

A propos, c’est une réflexion du présent pour un futur d’avenir forcément incertain.

Une chronique de mon hebdo préféré, fait part de l’inquiétude d’un père à une question forcément innocente d’une petite fille : «  quand je serai grande, je ne serai pas une maman ».

et le père d’évoquer la possibilité d’une transgenre pouvant revenir en arrière tout en restant là où elle pourrait être plus grande.

Cela fait forcément un beau de débat entre averti.

Pour la petite, il me semble que répondre sincèrement serait une bonne piste.

Quitter la version mobile