Le passé c’est pour aujourd’hui

Hier, c’est suffisamment récent pour s’en rappeler, l’on conspuait les politiques de trouver refuge dans les cabinets d’avocats.

Aujourd’hui, c’est sur le journalisme que l’on tire à boulets.

En fait, l’opinion, du moins la nouvelle qui fera l’opinion, se veut très conservatrice.

Elle réclame que celui qui est dans une case y reste.

Mais, la vie est bien plus compliqué que cela.

En effet, si l’un a pris l’habitude des lumières fera tout pour rester sous les projecteurs.

Comme dirait l’autre, il n’ y a que ceux qui ne font pas qui ne savent pas.

D’ailleurs, ne s’était-on pas moqué de cet aimant marque française d’être partie en exil dans des boîtes privées voire construire les siennes ? Et, si l’ancien ne fait rien, l’on déboulonne comme même à l’instar de celui qui est resté dans un logement prêté à vie par un d’une puissance étrangère.

Il est évident que ces passerelles sont sortes de liaisons dangereuses, mais à force de voir le mal partout, il n’y aurait que des loups.

Si l’on veut éviter cela, acceptons alors le vrai métier de politicien.

Pour arriver sans doute à l’éclosion d’autres soucis ? Doit-on appeler cela la vengeance des pays en voie de développement ? Ainsi, ces derniers accusent-ils effrontément, les pays industrialisés d’avoir pollué dans le passé avec leur soif de colonisation.

Puisque vous avez antérieurement fait, vous devez, aujourd’hui payer.

Payer pour la pollution passée dont le carbone est enfoui sous terre représentant une véritable bombe à retardement climatique pour toutes les confréries.

Payer pour nous afin que nous puissions nous développer avec le droit de plus polluer que vous.

C’est un retour de boomerang qui ne sent pas vraiment bon pour un combat unitaire afin de contrecarrer la menace de Dame Nature.

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