Aucune interdiction à leur encontre n’est en vue à l’horizon.
Lorsque des bruits de casseroles innocentes risquent de surgir, les préfets font preuve de servilité pour interdire presto, rapidement, les manifestations joyeuses qui pourraient intervenir.
L’on ne sait pas si elle sait qu’elle dépasse les bornes – c’est facile – mais, comme son patron, à force de faire du en même temps quoi qu’il lui en coûte, elle franchit certaines lignes nauséabondes.
Si l’extrême gauche, souvent, pratique une politique correspondant à son extrême, il faut vraiment être de mauvaise foi, ou faire un mauvais jeu politique, que d’y voir un reflet identitaire d’extrême droite pure.
En effet, sur le plan des actions, si ces derniers n’hésitent pas volontairement à s’attaquer physiquement à un individu, les autres le font sur les biens matériels.
Ce n‘est pas bien, mais c’est loin d’être la même chose.
Et, sur le plan des idées, c’est plutôt l’intégration intégrale qui est préconisée par l’extrême gauche plutôt que l’exclusion et le repli sur soi-même des chemises brunes.
Mais, dans l’histoire qui a animée cette séquence, la gauche toutes catégories confondues, devraient faire amende honorable de ne pas avoir défendu plus tôt cet édile communal.
Il est vrai que les politiques sensés être de son bord, n’ont pas eu grand-chose à (re)dire avant que l’affaire e soit médiatisée très tardivement.
Toutefois, n’est-ce pas ici l’effet d’une politique de faire obligatoirement ce que décide l’état, bien sûr non autoritaire, sans une vraie volonté de dialogue et d’explications.
Au fait, comment sont choisis et répartis ces migrants qui en tant qu’êtres humains doivent être accueillis dignement ? Il ne semble pas que la répartition ait été jusqu’à demander au versaillais ou gens de Neuilly de faire un effort à la hauteur de leur volonté sociale…