La torture revient

Les torturés de la caisse nationale ont encore bien joué.

Si la retraite mensuelle de janvier de cette année précieuse a fortement augmenté de 6€ sur la retraite de base – heureusement que les complémentaires sont plus dignes – les amis, qui se sont confiés, constatent par rapport à décembre 2021 une baisse de 2€.

Sans doute une quelconque remise à plat à la suite des changement des taxes de cotisations pas vraiment sociales.

Mais ça la fiche vraiment mal pour les inciter à revoter pour un type qui fait trop de choses en mêmes sans en regarde les conséquences pour ses électeurs.

L’on avait cru que l’inflation permettait aux heureux possesseurs de crédit à plus d’1 % d’en tirer profit.

Mais franchement, comment y voir quelque chose avec une pension qui ne suit pas vraiment ; notez que la délicate intention d’augmentation rognée ne suit même pas l’inflation que peuvent prétendre légitimement les salariés.

L’homme du tennis qui croit mépriser les autorités a un sacré trou dans sa raquette : pour la deuxième fois, son visa est en retrait.

Peut-être a-t-il une autre carte dans son jeu.

L’homme trublion de l’extrême droite n’aime pas les gens qui ne sont pas comme lui.

Déjà, il voulait virer de France ceux qu’il considère, sans considération, non français.

Remettre dans le bon couloir les ceux de couleur.

Désormais, il s’en attaque aux handicapés, incapables les pauvres de suivre son modèle de l’être blanc, bien et propre sur lui.

Il veut les mettre en écoles de réparation.

Vous vous ferez comme vous voudrez.

Mais cette odeur de relent nous (re)venant d’un passé que l’on aurait voulu sans possibilité de retour, me fait écarté spontanément cet individu à tout droit à la parole.

Un tel niveau d’exclusion mérite d’être écarté au fin fond de nos oubliettes de mémoire.

A ne plus jamais ressortir.

Quitter la version mobile