Lancé officiellement en octobre 2025, ce service s’adresse aux jeunes parents soucieux de réduire l’impact de leur consommation tout en allégeant leur quotidien. L’entreprise, fondée en 2024, s’inscrit pleinement dans l’économie circulaire en proposant une alternative concrète à la surconsommation : louer, utiliser, rendre, puis laisser chaque objet entamer une nouvelle vie auprès d’une autre famille. Le principe est simple : tout ce qui accompagne les premiers mois d’un bébé, poussette, transat, chaise haute, berceau, accessoires de soin, peut être loué uniquement pour la durée nécessaire, puis reconditionné à neuf avant d’être remis à disposition.
Une réponse à la hausse des coûts et à la charge mentale parentale
Le communiqué insiste sur un point clé : devenir parent représente déjà un bouleversement majeur. Pourquoi y ajouter la pression d’acheter, de stocker et de revendre des équipements souvent utilisés quelques mois seulement ? My Romy’s propose une rupture avec cette vision traditionnelle de la parentalité centrée sur la possession. En louant plutôt qu’en achetant, les familles gagnent de la place, du temps et de l’énergie, tout en allégeant leur charge mentale .
Cette approche répond aussi à une réalité rarement exprimée mais bien connue des jeunes parents : l’accumulation d’objets encombrants et leur faible durée d’usage. Un couffin n’est utile que les premières semaines, un transat quelques mois. La location longue durée redonne du sens en rétablissant l’usage comme critère central, loin de la logique consumériste. Comme le résume Laure Fivel, fondatrice de la plateforme, « on offre une solution simple, belle et circulaire, pour que les objets d’hier accompagnent les bébés de demain » .
Un service pensé pour être flexible, simple et sans contraintes
Ce qui distingue My Romy’s, c’est la combinaison d’un service flexible et d’un haut niveau d’exigence dans la qualité des produits proposés. Trois piliers structurent l’offre :
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Un abonnement modulable, permettant de choisir librement les équipements et la durée de location.
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Un confort maximal, avec livraison à domicile, remplacement en cas de besoin et retour simplifié.
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Une démarche éthique, où chaque objet est nettoyé, testé, réparé et reconditionné à neuf par des professionnels agréés, garantissant un niveau de sécurité équivalent à celui du neuf sans l’empreinte carbone associée à un nouvel achat .
Les visuels du communiqué montrent d’ailleurs les produits remis en parfait état, soulignant la promesse de transparence et de qualité faite aux parents.
Une innovation au cœur de l’économie circulaire
L’entreprise s’inscrit dans une dynamique plus large : celle d’un mouvement de parentalité consciente et responsable. L’achat neuf n’est plus la norme indiscutable. De plus en plus de familles privilégient aujourd’hui la sobriété, la seconde main, et désormais la location longue durée. My Romy’s illustre cette évolution en s’appuyant sur trois convictions :
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La parentalité moderne n’a pas besoin de posséder pour être sécurisante et épanouie.
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L’économie circulaire peut transformer des domaines encore peu explorés, comme la puériculture.
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Le partage et la transmission peuvent être au cœur d’une nouvelle manière d’accompagner la croissance des enfants.
L’entreprise propose en somme une version actualisée de la solidarité intergénérationnelle : les objets circulent, les familles se réjouissent de réduire leur impact, et les bébés profitent de matériels de qualité.
Une invitation à repenser le lien entre consommation et parentalité
La conclusion est un appel à rejoindre un mouvement plus large. « Aimer, c’est aussi transmettre, même un transat ou un couffin », rappelle la fondatrice dans une formule qui résume la philosophie du projet. La plateforme propose ainsi bien plus qu’un service : une manière nouvelle de vivre l’arrivée d’un enfant, plus douce, plus légère, plus harmonisée avec les défis environnementaux actuels .
En rendant possible une parentalité apaisée et déculpabilisée, My Romy’s s’inscrit dans la transformation globale des modes de consommation. Elle invite les familles à redonner du sens à l’usage, à privilégier la qualité plutôt que l’accumulation, et à choisir une solution qui respecte autant leur budget que la planète. Une petite révolution qui, dès la naissance, montre que grandir peut aussi signifier apprendre à partager.
