La dyslexie : un tabou en France

Les aprioris sur la dyslexie subsistent au sein de la société française. C’est ce que révélait une première étude OpinionWay réalisée en octobre 2022 pour Lili for Life, concepteur et fabricant de la lampe LILI qui facilite la lecture des personnes dyslexiques. L’une des conséquences : le manque cruel de confiance en soi, du plus jeune âge jusqu’à l’âge adulte. Lili for Life apporte une solution utile, simple et validée par les utilisateurs : une nouvelle étude OpinionWay confirme que 85% recommandent la lampe LILI.

La dyslexie reste un tabou en France

Le sondage d’octobre 2022 révélait que 71% des Français jugeaient ce trouble comme un frein à la réussite scolaire, 62 % à l’accès à l’enseignement supérieur et 52 % à l’accès à l’emploi. Des idées reçues confirmées par les personnes dyslexiques, qui déclarent avoir souffert de leur pathologie (76 %), voire affirment avoir déjà essayé de le cacher (57 %).

Pour lever ces freins, Lili for Life développe des technologies issues d’une découverte scientifique française primée. Disponible sur le site de la marque, chez Boulanger et la Fnac-Darty, la lampe LILI, vendue à plusieurs milliers d’exemplaires, a intégré récemment le réseau Ecouter Voir où il est possible de la tester avec un professionnel.

La lampe LILI, un outil aux multiples bénéfices

Lors d’une récente enquête de satisfaction réalisée en novembre 2023 par OpinionWay auprès d’utilisateurs de la lampe LILI, plusieurs bénéfices sont mentionnés parmi lesquels un meilleur confort de lecture (57%) et une lecture plus fluide (51 %). Près de la moitié indiquent une compréhension et une concentration accrues, ou encore une amélioration de la perception visuelle des lettres et des mots (43 % et 46 %). Tous y trouvent au moins un bénéfice et 66% en citent 3 et plus. L’étude révèle que 85% des utilisateurs recommandent à un proche dyslexique la lampe LILI.

Bertrand Descours, cofondateur de Lili for Life précise : “La lampe LILI est plébiscitée par les utilisateurs, elle est simple d’utilisation, son design a été conçu pour ne pas être stigmatisant et elle pourra permettre de progresser plus vite en complément des séances d’orthophoniste”.

Une découverte disruptive pour alléger les difficultés de lecture

La technologie Lili for Life s’appuie sur la découverte scientifique de deux physiciens français, Albert Le Floch et Guy Ropars. Récompensés en 2020 par l’Académie Nationale de Médecine, ils ont découvert que les personnes dyslexiques, à l’inverse des normo-lecteurs, ont deux yeux directeurs, ce qui provoque une superposition d’images dans leur cerveau lors de la lecture.

Lili for Life a mis au point un dispositif technologique qui émet des flashs lumineux invisibles à l’œil nu, venant ainsi corriger cet effet de superposition – d’images dites « miroirs ». Les flashs émis créent un décalage temporel dans le traitement visuel des lettres, ce qui supprime ces images dédoublées, cet encombrement. La lecture devient ainsi moins fatigante, plus accessible : le lecteur peut se concentrer sur la compréhension et la mémorisation. La lumière stroboscopique se règle lors de la première utilisation depuis l’application connectée pour convenir à l’utilisateur.

Bertrand Descours conclut : “Notre mission est précisément d’améliorer le quotidien des personnes dyslexiques grâce à la lampe LILI, c’est ce que cette dernière étude utilisateurs OpinionWay confirme. D’ailleurs, si vous êtes concerné, essayez notre innovation : la commander sur notre site web LILI FOR LIFE vous permet de l’essayer pendant 45 jours sinon les conseillers vision du réseau Ecouter Voir sont formés et pourront vous la faire tester dans un cadre serein

A propos de Lili for Life

Conscient du quotidien difficile des personnes dyslexiques et soucieux de remédier au sentiment d’injustice qu’elles ressentent, Frédéric Granotier et une équipe ont décidé de fonder la société Lili for Life en septembre 2020.

Leur ambition est de permettre une diffusion aussi large que possible des découvertes disruptives des chercheurs Albert Le Floch et Guy Ropars afin d’aider concrètement le plus grand nombre de personnes dyslexiques, en France et dans le monde.

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