Ils les voulaient, ils les ont eus

Le réélu être politique souverain totalitaire ? Mais non, il n’en a pas besoin tant que les services de la justice veille au grain.

C’est vrai qu’ils n’ont rien à faire que faire de la pub gratuite à une chanteuse nettement moins célèbre que son patronyme – Merci Papa.

Que se passe-t-il donc ? Elle a commis un vrai crime d’état en faisant parler le réélu avec faible majorité.

En effet, elle l’a imaginé dans une de ses chansons, s’imaginant qu’il serait pire que pendre.

Et, d’ailleurs, à la fin de note, elle a lancé que ses sbires allaient l’attaquer pour dispensation de haine.

Et voilà c’est.

Bien fait.

Certains politiques et d’autres ne vivant sans doute pas dans les cités aujourd’hui ouvertement dévastées, réclament que la normalité soit de retour le plus rapidement.

Voilà le hiatus, les jeunes, pas les dealers et leurs obligés, n’en veulent de cette normalité qui les réduit à ce no ma’s land.

Par contre, ils veulent bien vivre comme ces petits bourgeois des beaux quartiers.

Un autre qui se veut sachant, et se fâche lorsqu’il croit que l’on ne l’écoute pas s’insurge lorsqu’il entend que le terme « défavorisé » concernerait uniquement les gosses des cités et leurs parents.

En effet, il relève que, en Province, dans les campagnes reculées, les gens sont aussi défavorisés et pourtant ils ne se soulèvent pas pour autant.

Sans doute a-t-il oublié les gilets jaunes.

Mais, effectivement, il est urgent d’agir avant que tous les défavorisés se soulèvent pour réclamer leur pain quotidien et peut-être plus, ha ces sans-gênes.

Ils avaient interdits la marche pour ce jeune homme mort sur les coups de policiers jamais jugés.

La raison en était le risque important de violence en marge du cortège.

Cela n’a pas eu lieu.

Cela n’a pas plut aux gouvernants.

Alors, ils ont inculpé le frère et la sœur,  histoire de se donner raison.

Vive la Démocratie sans retenue.

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