Maintenant qu’il est assez éloigné pour une autre destinée, cela fait vraiment bizarre de la retrouver en tête de pub comme si c’était une nouveauté.
Mais, il est vrai qu’à voir la facilité avec laquelle certains licencient ceux qui ont participé à leur essor laisse rêveur d’un cauchemar en réalité.
Cela me rappelle dans une petite mutuelle que je ne nommerais pas puisque malgré tout elle existe encore, le comportement volontaire des élus venant du milieu de l’économie sociale d’une haute administration et pour certains, notamment les chefs, d’être des leaders syndicaux ou mutualiste de la Mutualité Santé.
Cela laisse rêveur d’entendre dire celui qui est resté le Pdg « de partir c’est une chance du destin qui vous fera trouver une autre espérance de rebondir ».
Il n’a pas de guillemets car même si le fond crasseux y est, pas certain que les mots soient ceux sortis de ce personnage ? Depuis d’ailleurs retourné dans la chaleur de ses bureaux de haute administration.
L’idée de ces administrateurs de haute volée a été de déporter la quasi totalité de l’activité à un groupe, lui aussi mutualiste mais dont le représentant dignitaire semblait plutôt porter à droite, sensé être plus compétent.
Le personne lui n’a pas profiter d’un plan social.
Car pour ces pingres, il n’était pas question de sortir la caisse où se trouvait pourtant déjà un pognon de dingue.
Du moins largement suffisant pour payer gracieusement ses hauts responsables à plus de 100 000€/an.
En effet, les 95 % du personnel touché étaient priés d’aller fissa porter leurs valises chez le nouveau propriétaire ravi de recevoir si bonne chair à canon.
Seuls les réfractaires ont fait rendre gorge, si peu d’ailleurs, pour obtenir ce que justice devait leur donner au regard de leurs droits les plus élémentaires durement acquis par le combat de la base syndicale toujours militante.