Il l’avait bien dit

Un chroniqueur, ancien ministre de France bien éduqué, a trouvé l’excuse de la justification des régimes capitalistes.

Lorsque les totalitaires s’enrichissent, ils aiment le capital et, en conséquence, ne supportent plus les clowneries de leurs états.

Bientôt, il nous apprendra que le capital est la liberté des peuples et non leur asservissement.

Aussi si l’on comprend bien, pour éviter, un régime totalitaire, qui menacerait les pays dits libres, il faudrait vénérer l’exploitation forcenée de l’homme par l’homme.

La boucle est bouclée, fermer le banc, il n’y a (plus) rien à voir.

Mine de rien, ça arrive bien en cette période électorale.

Est-ce le fait d’une société de communication, du besoin de remplir les antennes de télé privés ? Où est-ce tout simplement le fait d’une proximité ?Mais une réalité est que désormais, l’on nous abreuve d’images de guerre pas belles du tout.

Mais c’est la guerre.

Était-ce plus beau, est-ce plus beau, dans les autres pays éloignés où les mêmes exactions ont été faites ?

N’est-ce pas aussi dans ces pays où le régime totalitaire de l’Est est intervenu avec la même violence en considérant que les classes laborieuses étaient juste bonne pour la chair à canon ?

Alors, oui, il faut absolument que les régimes démocratiques, prêchant et appliquant la liberté de l’humain, fassent œuvre justiciable de traîner cet être abominable incapable de regarder en face les conséquences de ses années de pouvoir et de ses décisions unilatérales.

Il n’a pas la moustache, mais est aussi infréquentable que son homologue d’hier.

Et, comme il n’acceptera jamais de se présenter devant le tribunal international, il faudra aller le chercher.

Je n’aime pas la guerre, mais l’exception peut confirmer la règle générale.

Maintenant, une fois posé ce grand principe, quant arrêterons-nous de fabriquer des armes non pour nous défendre, mais pour les vendre tant cela fait marcher le commerce ? Or, une arme vendue, une vie fichue…

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