Il faut (s’)imposer

La Cee impose que chaque pays adhérent agisse selon la norme établie pour tous.

Soit, c’est une bonne manière de vivre ensemble.

Mais, pourquoi est-ce que ce principe est d’abord de mise pour la chose financière ? Ainsi, par exemple, l’obligation de libre concurrence oblige-t-elle notre transporteur d’énergie courant à rester à des niveaux élevés pour permettre aux concurrents d’être plus compétitifs ou encore cette obligation des trop fameux 3 % de déficit.

Certes cette dernière a été suspendue pour cause Covid-19 et maintenue actuellement du fait du champ de tirs opérant à l’Est.

Mais, la farce terminera bientôt et qui va prendre ? Alors pourquoi ne pas exiger qu’il en soit de même dans les autres éléments de la vie ? Par exemple, étant donné que notre loi interne fixe un plafond de verre pour le droit à l’IVG, des milliers de femmes sont obligées de faire leur marché à l’étranger pour faire valoir leur droit à leur individualité.

Est-ce que cela voudrait dire que dans notre beau pays les praticiens sont moins enclins à sauver la veuve sans faire d’orphelin ? Est-ce à dire qu’en France, passé ce fameux délai, la vie de la femme concernée, à qui l’on n’a demandé aucun avis, serait en danger.

Mais ne le serait plus une fois passée la frontière ? Il en est de même pour l’usage libre de la petite herbe verte qui s’épanouit en belle feuille à l’étranger que l’on réduit en poudre restreinte ici bas ? Et ne parlons pas des différences de rémunérations professionnelles qui font passer les heureux étranger comme riches par rapport aux salariés de France.

Les temps vont être durs pour le champion électrique trop chargé en dettes.

En conséquence, l’état veut acquérir 100 % de son capital.

C’est le grand retour du banquier du réélu qui veut que l’on privatise les profits et répartissent collectivement les dettes.

A quand la nationalisation des autoroutes ?

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