Il faut prendre le pouvoir

Le trublion de l’extrême droite n’est pas raciste. Il n’a rien contre les migrants car ce serait suicidaire, lui-même étant juif.

Il veut simplement que les étrangers restent chez eux à périr dans leurs beaux quartiers dont la nature exacerbée par nos travaux forcés sur leur sol, ne fera qu’une bouchée si d’ici là, les va-t-en guerre ne les auront pas décimés au nom des pays riches qui les financent pour la richesse de leurs sous-sols.

D’ailleurs, son entourage dont la plupart sort des grandes caves de l’oubli des partis fascistes sont en plein accord avec lui.

Idiot, voire plus, celui qui ne sait changer d’avis hors côté obscur de la bête.

 Mais, lorsqu’il dit que 20 % des prénoms sont à consonance étrangère, il nous trompe.

En effet, c’est bien plus à commencer par le sien germanique.

A côté de lui, l’on comprend pourquoi certains pensent que sa rivale, toujours cheffe parricide aimant les chats et beaux bobos mais toujours pas les migrants, serait de gauche.

Surtout à entendre son discours programme qu’elle n’a pas du tout envie d’appliquer : cela n’aurait pas de sens avec le vrai profil de sa colonne vertébrale.

Toutes ces primaires se sont faites semble-t-il, au deuxième degré.

En effet, à chaque fois celui ou celle qui a perdu arrivé(e) deuxième entend faire raison au premier ou première sur son propre programme perdant.

C’est la Démocratie renversée obligée de tenir compte des minorités représentatives.

Un combat est un combat, si tu n’es pas mort, tu vis encore et peux te battre encore.

Mais si tu me tues, tu prouves que tu es un odieux dictateur imposant de force sa volonté de faire.

Dans les faits, c’est exactement identique, et non pas forcément identitaire, à ce qu’a fait la droite en détournant le scrutin sur le je veux de cette Europe ou pas.

Référendum ou pas, c’est toujours la loi du pouvoir qui l’emporte.

Quitter la version mobile