En manque de tout
Il manque de profs, instits ? Pas de souci, il suffit de baisser leurs exigences de savoir pour faire monter les embauches.
Et après, il leur sera demandé de faire en sorte que les petits écoliers soient les meilleures du monde en français et maths !!! Ce diktat devrait s’appliquer au poste de patron.
Ah oui, un souci cependant, on n’en manque pas et ça se bouscule au portillon à voir les traces de dents pointues sur les belles hautes moquettes des bureaux d’attente.
Dur pour le gouvernement, il se fait, comme toujours, dépassé par le privé.
Et, là, c’est grave puisque si, le privé, peut s’ enorgueillir, de plus d’un million de licenciés, l’administration elle n’a pu faire que 110.
Alors, en ces temps de compétitions sportives, il n’est pas question d’en rester là.
Aussi, après avoir aggravé la situation des futurs retraités, des retraités, des chômeurs, désire s’attaquer à ses salariés directs.
Bien sûr, il n’est pas (encore?) question de licenciement économique, mais ce serait bien de prendre exemple sur le privé si libéral.
Mais une question taraude les plus soupçonneux.
Ne serait-ce pas une des innombrables mesures de recherche en économie ??? Lorsque le patron de la justice se met volontairement à droite de son collègue de l’intérieur, ça fusille à tout va.
Alors, il défonce tout en affirmant que le gogo qui prend plaisir à son joint tranquillement assis sur les coussins de son couffin, a comme un goût de sang de trottoir au bout de son bout fumant.
Le mec, fier de sa diatribe ne se rend même pas compte que cette maxime puisse lui être retourné en boomerang.
N’a-t-il pas entendu, vu, d’autres en d’autres territoires prendre le taureau par les cornes afin que cesse ces rodéos ? Comment ? Ils légalisent en toute simplicité et laissent vivre ceux qui le veulent.