Mais, ce n’est pas partout pareil en France du moins métropolitaine.
En effet, il sera, sans doute aucun, admis le transfert de malades d’Île de France vers l’Est de notre si beau pays.
Bien sûr, les transferts ne seront pas de masse.
Mais tout comme les malades ne profiteront pas de la beauté diversifiée des paysages parcouru, c’est significatif de l’état de notre système hospitalier dans son entier.
La Haute Autorité de Santé recommande la troisième dose dans les trois mois suivants la deuxième.
Aussitôt dit aussitôt traduit par « les français devront se vacciner tous les trois mois ».
C’est beau l’écoute nationale.
Ceci dit, ce serait bien de déjà tenir la possibilité de faire des troupes dans les 6 mois.
Outre de sécuriser les gestes barrières dont le principal serait le non contact avec les autres non véritablement connus, il serait bon de la bonne disponibilité des tests au cas où l’obligation serait de voir d’autres moins connus.
Maintenant, se rappeler tout de même que le port de masque et le lavage des mains régulier ne sont pas idiots à accepter.
Mais, devant le nouveau variant, non encore connu à ce jour, il est normal que les experts font connaître, non pas vraiment leur désaccord, mais plutôt le résultat de leurs proches réflexions en fonctions des données en leur possession et leur propre approche et vécu du risque.
L’homme est humain et le restera.
Il est plein de défauts mais s’est s’en sortir lorsqu’il le faut.
S’il était parfait, peut-être serait-ce bien face au risque qui ne serait plus encouru.
Mais, alors, la vie vaudrait-elle d’être vécue ? Le problème d’aujourd’hui est que la doxa depuis des décennies était la réduction des coûts des soins.
Quant les politiques, tous mouillés jusqu’au cou, accepteront de reconnaître leurs torts pour revenir à plus de sérieux ?