Drôle d’effet

L’exemple de l’Écosse éclate en pleine figure pour ce qui est de l’énergie par éolienne.

Dans un premier temps, il faut un maximum de vent et c’est dans leurs eaux qu’il y en a à foison.

Dans un deuxième temps, les dommages collatéraux sur les êtres humains, certes peu de choses mais tout de même importants, sont faibles et dans tous les cas nettement moins nuisibles que les éoliennes terrestres.

Cela confirme une étude globale qui disait qu’au Nord ce sont les parcs éoliens, au Sud les panneaux solaires, plutôt de luminosité.

J’ajouterai qu’au milieu, les centrales nucléaires sont incontournables si l’on accepte le principe que ses habitants aient droit à la lumière à défaut de vouloir les faire revenir au charbon dont la certitude est leur pollution pas claire.

Mais encore faudrait-il prendre le temps de les entretenir correctement pour éviter tout problème à venir.

A propos, l’on sait les capacités de nuisances des gros bateaux de tourisme et tankers qui naviguent au fuel lourd c’est-à-dire non raffiné.

Alors pourquoi les laisser faire ? Pauvre petit patron, complètement fâché d’être menacé par une mesure qui ne sera applicable que pour la vitrine.

On  l’entend moins lorsque les sanctions pèsent sur les salariés.

Mai, chut, il ne faut surtout pas le dire.

J’aime bien cette phrase d’un célèbre : « la vie mène à la mort.

C’est une maladie sexuellement transmissible.

Il ne faudrait pas que les médecins l’oublient ».

Peut-être faudraient-ils à ces derniers en plus de méditer dessus, qu’ils aient un tout petit peu les yeux vraiment ouverts par rapport au virus.

Dernièrement, et c’est encore applicable, ils sont sur tous les plateaux pour nous (re)dire le désastre annoncé du nouveau variant sur nous pauvres êtres.

Nous somme vraiment peu de chose, incapable de savoir le pire.

Mais, les études des faits qui s’annoncent contredisent tout ce qui a été dit : il n’y a pas effet sur la vie hospitalière du nouveau variant.

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