Droit de faire ?

De nombreux téléspectateurs semblent avoir été choqués par l’excellent reportage télévisé donné par des journalistes qui ont pris le temps de voir la vie des enfants laissés pour compte.

Ils ont d’autant pris leur temps qu’ils avaient déjà œuvré en ce sens il y a quelques années.

Rien n’a jamais changé ou presque.

Les jeunes sont livrés à eux-même ou pris en charge par des réseaux d’adultes.

Des étudiants, plus souvent étudiantes, se prostituent dans nos villes pour simplement vivre.

Inutile de se concentrer sur e cas d’espèce d’une jeune ado qui en fait autant pour se payer ses friandises.

Mais, tout laisse à voir l’abandon de la société vis à vis de ces jeunes qui ont mal démarrer leur vie et vont la poursuivre ainsi jusqu’au bout.

Et, si jamais l’un d’entre eux commet l’irréparable, les bonnes gens qui ne veulent pas payer d’impôts crieront d’autant plus haro sur le baudet qu’ils savent bien au fond d’eux-même qu’ils sont collectivement coupables.

Une nouvelle compagnie, sans crier gare, s’est créée depuis 2017.

C’est-à-dire, en termes d’assurances, puisque c’est bien de cette matière qu’il s’agit, depuis fort peu de temps.

Mais, après vérification, il ne s’agit pas d’un assureur mais bel et bien d’un cabinet de courtage qui place les contrats de ses clients chez de vrais assureurs.

Pourtant, l’interview réalisé dans un hebdomadaire à grande diffusion n’en dit rien.

Et, le plus inquiétant, peut-être, est que l’homme, président de son état de grâce, avoue ne rien connaître à l’assurance ni son associé.

Mais il rapporte que « Elon Musk n’était pas un expert en automobile avant de ».

Ce qui semble en dire long sur ses chevilles patronales.

Et comme il se vante de savoir prendre les décisions qui s’imposent lorsqu’il s’agit de réduire la voilure, l’on peut comprendre l’inquiétude de ses salariés.

Au fait, être courtier ne nécessite pas au minimum un diplôme d’assurances pour pouvoir exercer ?

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