Ainsi de nombreux salariés quittent leur job à patron trop présent, pour se jeter dans l’indépendance adulte.
D’ailleurs, cela fonctionne, puisque paraît-il nombreux sont les influenceurs qui désormais vivent dans leur opulence.
C’est un véritable tsunami dont la vague porte vers le veau d’or promis.
Et, malignes comme toujours, nombre de sociétés en ont fait leur miel.
Car, si ce nouvel enfer, non pavés de bonnes intentions, les enrichit, c’est grâce à cette antédiluvienne invention de la notion d’indépendants asservis.
Le principe théorique est « tu travailles à la hauteur de ce que tu fais », sous entendu, il est facile d’en vivre si tu te réveilles, si tu t’en donnes la peine.
Ainsi pour quelques euros, tu acquiers le prix de ton indépendance et à toi la vie, sous-entendu belle.
Quelques rumeurs permettent de dire que le simple nombre de ces personnes appelées à ce destin suffit pour faire fonctionner les grosses boutiques.
Mais, sans vraiment de mal, les organisateurs de ce joyeux festin trouvent toujours quelques exceptions de ceux qui réussissent au jackpot de la vie travailleuse avec ou sans patron.
Effectivement, il existe des survivants de ces chaises musicales qui font du turn-over la règle de vie.
Ceux qui restent peuvent tranquillement passer des heures et des heures à récolter de quoi survivre.
Les autres sont bien obligées de revenir à leurs anciennes vies.
En espérant qu’elles n’avaient pas tout quitté pour ce miroir aux alouettes je te couperais la tête.
Même s’il est vrai que certaines, généralement arrivées en début de file indienne, touche vraiment le gros lot.
Avez-vous remarqué qu’au fil des mots le passage du masculin s’est opéré avec la finesse tranquille du devoir accompli, pour arriver sans coup férir au féminin ? En effet, dans ce rêve trop souvent irréaliste, la femme n’a pas besoin d’en imposer la parité.