Croyez-le

Ces fous d’eux-mêmes qui n’ont qu’une seule idée en tête : la leur.

Ils veulent imposer aux autres leurs croyance propres, peut-être sales, qui, pourtant, relèvent de la pure intimité.

Ils disent se porter à la pro-vie.

Et, partant, ils veulent interdire le droit à la femme, celle qui veut dans sa chair, son intimité, son soi elle-même, avorter.

Peu importe, que la grossesse soit consécutive aux actes barbares de viol, viol-inceste.

Peu importe, que la femme se sente trop jeune pour assumer une maternité de tous instants durant toute une vie avant d’être vieille.

Peu importe, peut-être, si l’enfant devra subir un handicap que les censeurs ne supporteraient pas pour eux-mêmes voire un(e) membre familial.

Un Président qui se vante de réunir la gauche et la droite modérée en un ensemble à faire tout en même temps persiste et signe dans sa profession de foi.

Mais, lorsqu’il remercie clairement un ancien président qui était clairement identifié d’opposé et qui est, de source sure restée dans son bord, l’on ne peut que constater que ce nouvel élu a pris le grand virage de la vraie droite libérale dure qui ne parle sociale que par pur intérêt de ne pouvoir faire autrement.

En fait, il n’a jamais arrêté de faire le théâtre que sa femme de prof lui a enseigné auparavant dans une école huppée.

Mais ce ne sont pas les canons en marche entendus dans la cour de l’Élysée qui donneront le change pour passer une guerre peut-être à venir.

Mais cette tradition royale se voulait à 101 coups envoyés.

Faites attention au stock de munitions tout de même.

Aussi la République a réduit à 21.

que de changement tout d’un coup.

C’est le trublion de l’extrême droite, et sans doute aussi celle qui l’a battu, qui doit rager à en manger son chapeau non haut de forme, de voir la légion toujours étrangère fouler les graviers de l’Élysée, et lui pas : non invité qu’il était.

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